Famille Vendue By chaba
La vie réelle et nos fantasmes constituent deux mondes distincts et qui doivent toujours le rester.
Texte très cru et histoire très hard (violence / inceste). Merci de passer à autre chose si vous n’êtes pas certain d’avoir envie de lire ce genre de récit.
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Part 1 - La capture.
Le monde d’Evelyne s’était effondré il y a deux semaines. Deux semaines depuis leur enlèvement et le début de l’ignoble dressage. Et demain, on leur annonçait la venue d’un premier acheteur potentiel…
Elle était arrivée en Tanzanie pour dix jours de vacances avec ses deux enfants, Charlene 20 ans et John Junior 19 ans. Une tradition, respectée tous les ans : dix jours de vacances au soleil au moment des congés scolaires de février. Se retrouver tous les trois, soudés et heureux, et profiter de la vie ensemble dans le cadre luxueux d’un hôtel de haut de gamme. Elle en avait les moyens… Et le droit se disait-elle.
Evelyne était fière de son parcours. La vie n’avait pas toujours été tendre avec elle : une grossesse survenue bien trop tôt – elle était encore lycéenne – et puis plus tard la mort de John, son mari. Cette nuit terrible ou elle reçut la nouvelle de l’accident, alors qu’il venait les retrouver tard le vendredi soir d’une (une de plus…) trop longue semaine de travail. Tué net dans les tôles de la voiture sortie de la route seule en pleine ligne droite. S’était-il endormi au volant ? On ne le saurait jamais. Evelyne avait fait face, veuve avec deux jeunes enfants. Son époux avait bien fait les choses : une très solide assurance-vie, généreusement complétée par le cabinet d’avocat qui les employait tous les deux et qui ne devait pas se sentir trop à l’aise face aux circonstances de la mort d’un collaborateur si visiblement surchargé de travail, avait permis de passer le cap sans réelle difficulté. John avait d’ailleurs toujours bien fait les choses. Père « par accident » mais homme d’honneur, il avait soutenu Evelyne, seulement 17 ans et lycéenne à l’époque, proposant de l’épouser immédiatement et offrant même de venir vivre à Paris avec elle, lui le jeune avocat fraîchement diplômé de Boston, Massachusetts. Il avait trouvé sur le champ une bonne place dans l’antenne française d’un très réputé cabinet d’avocats d’affaires américain. A 18 et 27 ans respectivement, Evelyne et John, jeunes mariés pleins d’optimisme et d’énergie avaient su tout mener de front avec succès : le décollage de la carrière de John, un deuxième bébé (John junior) mis en route sans attendre (car tant que l’on est dans couches et les biberons…), et enfin les études de droit d’Evelyne, qui, sept ans plus tard, rejoignait son mari au cabinet d’avocat, où il était devenu un collaborateur senior et l’un des principaux « money makers ».
Aujourd’hui, à 37 ans, Evelyne avait conservé toute la séduction de la lycéenne qui faisait chavirer les cœurs. Elle y avait ajouté le charme si profond de la femme qui a vécu, pour composer un bouquet absolument irrésistible : elle était belle, brune, grande, bien faite, soignée d’apparence, tonique grâce aux deux fois deux heures de club de sport hebdomadaires sans compter des soins esthétiques réguliers. La maturité avait doté son corps élancé de belles formes. De généreux seins en poire et des hanches marquées lui faisaient une silhouette à propos de laquelle elle s’amusait intérieurement de voir le regard de tous les hommes s’attarder systématiquement.
Elle avait su oublier John, son mari mort, qui avait été certes un époux irréprochable, mais imposé quelque peu par les circonstances. Ses parents à elle, très traditionnels, ne lui auraient pas pardonné un avortement, ne lui laissant d’autre choix que de se marier. Surtout que le jeune homme avait été un parfait gentleman, qu’il avait tout accepté, la prenant en charge et venant s’installer en France. Qu’aurait-elle pu oser demander de plus ? En fait, au fond de son cœur, elle aurait voulu aussi trouver en lui un amant présent et romantique. Mais elle avait du apprendre à faire sa vie aux cotés d’un gestionnaire certes irréprochable mais donnant 80 heures et plus par semaine à son travail… Elle s’y était résignée difficilement, même si elle lui avait toujours gardé un profond et sincère respect au regard de ce qu’il faisait pour elle et les enfants. Mais le respect et l’amour sont deux choses assez distinctes. Tout cela explique que, lui parti, elle n’avait pas eu de difficultés à revivre sentimentalement, s’accordant de temps à autre des aventures, que sa liberté financière assurée et son charme dévastateur, lui permettaient de choisir et de contrôler suivant son seul bon plaisir.
Fière de son parcours, Evelyne était fière aussi de ses deux enfants. John et Charlene étaient magnifiques. La fille avait la beauté de sa mère, le corps élancé, ferme, sportif, même si sa poitrine et ses hanches attendaient encore de futures maternités pour atteindre leur plein développement. Ses seins étaient deux fermes pyramides triangulaires tendues sur son buste. De son père, elle portait les cheveux blonds et les yeux clairs venus du sang irlandais. Bonne danseuse classique, enjouée et vivante, elle croquait la vie (et les garçons depuis deux-trois ans…) à pleines dents. John, les cheveux clairs lui aussi, grand comme ses deux parents, était un bel adolescent, réservé mais affectueux. Sa fine corpulence, souple et équilibrée, et un beau visage bronzé avec une mèche sur les yeux lui assuraient de nombreuses attentions féminines et sa mère avait souri quand il avait commencé à découcher de temps en temps.
C’était en fait leur second passage en Tanzanie. Trois ans auparavant en effet, Evelyne et les enfants étaient revenus enchantés d’un premier séjour gardant en mémoire en particulier une journée formidable passée en excursion sur les plages de Pemba. Pemba, une grande île à une centaine de kilomètres au nord-est de Dar-Es-Salam, pouvait être rejointe par un petit avion mis à leur disposition par l’hôtel. Le petit monomoteur Cessna, équipé de flotteurs, décollait depuis la marina le matin et les y re-déposait le soir à temps pour le dîner.
Cette fois, ils étaient partis seuls avec le pilote vers Pemba. A peine descendus là-bas, quatre hommes s’étaient dressés et s’étaient jetés sur eux. Charlene avait tenté de fuir, mais pour être reprise presque tout de suite. Ligotés, quelques coups de poings reçus dans les cotes pour les faire se tenir tranquilles, un sac de toile sur la tête pour les aveugler, ils avaient été hissés tous les trois à nouveau dans le petit hydravion. Décollage, amerrissage (où ?), transfert à terre sur la plate-forme d’un camion, puis un interminable voyage dans les chaos d’une route défoncée, la chaleur, les mouches et la poussière. Enfin, l’arrivée la nuit tombée et l’enfermement, les mains toujours liées, dans une cellule à trois.
Part 2 - Mise en condition.
Depuis combien de temps étaient-ils là ? La femme rude arabe, qui était déjà venu plusieurs fois les faire boire, était revenue et, nouveauté, deux hommes massifs et musclés gardaient derrière elle la porte les bras croisés.
« Ecoutez moi ! Je suis Fatou et je vais vous apprendre deux ou trois choses sur votre nouvelle vie » commença la femme en français.
« Libérez mes enfa… »
Une magistrale paire de gifles s’abattit sur Evelyne et la réduisit aussitôt au silence.
« Toi la bourgeoise, ta gueule ! J’ai fait suffisamment d’années de ménage dans votre pays de merde pour savoir votre langue et maintenant que les rôles ont changé, je vous crache à la gueule ! »
Joignant le geste à la parole, elle expédia adroitement un crachat directement sur le front de la française.
« Ici, c’est moi qui parle. Et moi seule. Compris ? »
Une seconde paire de gifles, aussi forte, tomba sur Evelyne, qui hocha la tête en signe d’acquiescement.
« OK. Vous avez été enlevés pour de l’argent. Pas pour une ranson. C’est vous la marchandise : vous serez vendus comme esclaves à des gens riches. Pour le monde, vous avez disparus avec l’avion, qui n’est pas rentré à l’hôtel avant-hier soir. Le pilote et l’avion sont en fait passés tranquillement au Kenya et y voleront avec une nouvelle identification. Des recherches actives ont été entreprises en mer entre Pemba et Dar-Es-Salam et l’ambassade de France a été informée de l’accident probable. Ses représentants étaient d’ailleurs à l’hôtel hier toute la journée. Vous serez déclarés morts et disparus en mer d’ici quelques semaines et cela ne fera pas plus de vagues que cela… »
L’univers était en train de s’effondrer autour d’Evelyne…
« Vous êtes socialement morts, volatilisés. Bien avant ce temps là, on vous aura trouvé des propriétaires et vous leur aurez été livrés. On ne va pas trop vous éduquer en attendant, puisque les acheteurs payent plus cher une matière brute qu’ils peuvent transformer et ajuster en fonction de ce qu’ils ont comme projet ou fantasmes… On va juste vous « assouplir » un peu… Contentez vous d’obéir. D’obéir à tout et à tous Vous êtes désormais des objets. De la chair faite pour le plaisir. C’est notre industrie locale. Zanzibar, comptoir d’esclaves, cela ne vous rappelle rien ? Des siècles d’une réputation commerciale sans tache au profit d’une clientèle exigeante : marins de passage, grands commerçants arabes, et aujourd’hui grâce au web, littéralement le monde entier... Généralement on travaille à partir de belles campagnardes pauvres, masaï ou autres, saisies dans l’arrière pays. Mais il y a d’autres possibilités : les jeunes pommés d’Europe qui « font la route » avec un sac sur le dos par exemple. En tous cas, merci à vous d’être venus de si loin pour nous ! On vous avait déjà repérés il y a trois ans, mais là, en vous voyant de retour dans le hall de l’hôtel, l’occasion était trop belle. Quoique la première fois, on aurait eu plus de chance d’avoir une vierge à vendre avec la petite… »
Evelyne aurait voulu pouvoir pleurer…
« Vous allez vivre à partir d’aujourd’hui pour donner du plaisir. C’est désormais la seule raison pour que l’on vous garde en vie. Rien d’autre. Et on va vous en faire la démonstration immédiatement… »
Sur un geste de sa main, les deux hommes s’avancèrent dans la pièce révélant chacun un fouet dans leur main droite. CLAC ! Un premier coup zébra le dos de Charlene qui se roula par terre en hurlant.
CLAC, CLAC, CLAC… L’un après l’autre, Evelyne, John, Charlene à nouveau, furent la cible de nouveaux coups.
CLAC, CLAC, CLAC, CLAC… Les fouets s’abattaient sur les trois captifs dont les bras liés faisaient des cibles sans défense ni protection. Hurlements, convulsions,…
CLAC, CLAC,…
« Arrêtez ! Arrêtez ! Je ferai tout ce que vous voulez ! Tout ! Arrêtez par pitié ! » Hurla Evelyne en larmes en se jetant aux pieds de la femme. « Arrêtez cela je vous en prie ! Je ferai tout ! Tout ! Absolument tout !».
D’une main levée, Fatou interrompit les hommes. Un sale sourire aux lèvres, elle commença à soulever sa longue robe sombre, découvrant ses jambes, puis ses cuisses et enfin la fente de son sexe noyée dans une épaisse toison noire.
« Lèche-moi ! Suce-moi esclave d’occident ! Fais moi jouir ! Prouve moi que tu veux profondément te rendre utile ! »
Apres un court regard en arrière vers ses deux enfants, Evelyne accepta de se sacrifier. Elle avança lentement la tête vers l’entrejambe de la geôlière, ouvrit la bouche et tendit la langue vers la fente humide.
Jamais elle n’avait encore prodigué cette caresse à aucune une autre femme. Bien sur elle n’ignorait pas le plaisir entre femmes : au salon d’esthétique parisien qu’elle fréquentait, avec la Edith une femme de son âge, qui s’occupait habituellement d’elle, elle avait fini par partager à chaque séance baisers et caresses dans l’intimité de la loge des soins. Et les dernières fois, bien au-delà d’un simple flirt, elle avait laissé la main d’Edith descendre vers son entrejambe pour lui caresser les grandes lèvres, puis les petites. Par un doux mouvement autour de son bouton d’amour, Edith lui avait donné alors à plusieurs reprises de merveilleux orgasmes. Edith, très amoureuse de sa si belle cliente, l’avait suppliée tendrement d’accepter de la revoir en dehors du salon, un soir ou un week-end. Evelyne était bien tentée, mais n’avait jusqu’à présent pas voulu donner suite à cette pressante invitation. Aujourd’hui, c’est contrainte et forcée, qu’elle allait se livrer au plus sordide lesbianisme. Elle anticipait déjà très clairement que ce n’était là que le début d’un très long chemin…
Ecartant de la langue les lèvres de ce sexe féminin, elle commença à lécher, s’enfonçant chaque fois plus profondément, voulant satisfaire la geôlière pour qu’à aucun prix les coups ne recommencent à tomber sur ses enfants.
« Bien ! Enfonce toi encore ! Oui, c’est bien... C’est ça… Au fond… Remonte maintenant sur mon clito ! Bien l’esclave, continue, applique toi… Bien… Tourne encore ! Bien… »
Evelyne obéissait à tout malgré son écoeurement. Maladroite avec ses bras entravés, elle se donnait à fond, léchant bruyamment et sans retenue, la tête enfouie entre les cuisses grasses, ne pensant qu’à faire jouir celle qui avait provisoirement tout pouvoir sur sa famille. Elle le savait : c’était de la prostitution. Elle se prostituait. Il n’y avait pas d’autre mot pour ce qu’elle était en train de faire. Et à la vue de ses deux enfants…
A coté d’elle, l’un des gardes lâchant son fouet avait saisi une poignée de cheveux de Charlene et ouvrant son pantalon de l’autre main, dégagea une queue épaisse à l’odeur forte. Attirant la jeune femme à lui, il lui fit comprendre sans peine ce qu’il allait exiger d’elle. Terrorisée, le dos encore en feu, les yeux remplis du sacrifice de sa mère en cours à coté d’elle entre les cuisses de l’arabe, Charlene accepta à son tour d’ouvrir la bouche et de commencer à sucer le membre déjà à demi rigide. Prenant la tête blonde entre ses deux mains, le colosse fit comprendre que non seulement la bouche, mais aussi le fond de la gorge était à lui, et Charlene dut engloutir la totalité de cette queue maintenant bien dressée. Le viol se poursuivit longtemps sans pitié malgré les hoquets et les étouffements de la jeune femme. Seul comptait désormais le plaisir des maîtres…
Une minute plus tard, John lui aussi s’efforçait maladroitement de reproduire sur le dernier gardien cette caresse divine que certaines de ses girlfriends lui avaient parfois prodiguée.
Dans le bruit des sussions, le triple viol durait. Les langues s’enroulaient autour des testicules des gardiens avant que les bouches soumises n’engloutissent à nouveau leurs membres luisants. Evelyne lapait et avalait les fluides de l’arabe, sa tête allant et venant entre les cuisses ouvertes. Rien ne fut épargné et John et Charlene durent vidanger le sperme émis jusqu’à la dernière goutte, nettoyant même par de derniers coups de langues les queues de leurs violeurs. L’arabe finit elle aussi par jouir dans un grand tremblement longtemps après les deux hommes, emprisonnant de ses cuisses tétanisées la tête de la mère, maintenue ainsi prisonnière de longues secondes le nez dans son intimité chaude...
« Bien ! Apparemment vous êtes intelligents, » leur dit Fatou, le sourire aux lèvres, « Sachez continuer ainsi et vous vous éviterez le plus gros des ennuis… »
Evelyne baissa la tête, désespérée de penser qu’ils ne pouvaient en fait que s’éviter le retour du fouet, mais pas celui des viols et du reste…
Libérés de leurs liens, ils furent nourris et douchés. Laissés nus, ils purent dormir sous de sommaires couvertures.
Part 3 – Apprentissage de la soumission.
Le lendemain Fatou revint et, entraînant tour à tour Evelyne puis Charlene, elle procéda au rasage intégral de leurs deux toisons pubiennes.
Plus tard le même jour, les trois furent conduits, toujours intégralement nus, dans une plus grande pièce aux murs blancs, vide hormis un tapis central. Fatou ordonna à John et Charlene de s’accroupir le long d’un des murs, alors qu’Evelyne dut se placer sur le tapis. Les deux gardes de la veille étaient là eux aussi et l’un des deux s’avança vers Evelyne.
« Donne-toi à lui. Excite-le ! Putain, fais lui l’amour ! » Ordonna Fatou.
Evelyne eut un instant d’hésitation, paralysée à l’écoute de cet ordre sordide.
CLAC ! John hurla de douleur, la marque rouge du fouet ayant traversé son épaule et son dos.
CLAC ! Une deuxième striure lacera le garçon.
Message reçu, Evelyne se colla immédiatement contre l’homme auquel elle était tenue de s’offrir. Elle se frotta à lui le plus lascivement qu’elle pouvait, faisant aller et venir ses seins sur la poitrine de l’homme, l’enlaçant de ses bras, lui flattant la nuque. Puis elle tendit ses lèvres et rechercha un baiser. L’homme se pencha vers elle mais il lui laissa l’initiative. Il n’était pas fraîchement rasé et son haleine gardait les traces lourdes d’un récent repas, mais la française dut s’avancer encore, joindre ses lèvres aux siennes, l’embrasser, le flatter de ses mains. Feignant la plus parfaite lubricité, elle glissa ses doigts à l’intérieur du pantalon à la recherche de la queue qu’elle allait faire bander pour accomplir ce que ses geôliers avaient prévu pour elle. Mais tout valait mieux que des coups supplémentaires sur ses enfants…
Ayant dégagé le membre, Evelyne s’agenouilla et le prit en bouche. De ses deux mains elle ajoutait une caresse douce de l’intérieur de cuisses de l’homme dans l’espoir d’accroître son plaisir afin qu’il soit le plus rapidement possible en état de la prendre. La tête docile allait et venait sur la queue circoncise, les joues et la langue jouant alternativement pour une meilleure simulation. Pendant qu’elle le suçait ainsi, l’homme fit passer son T-shirt par-dessus ses épaules et elle l’aida à se débarrasser du pantalon.
Etant parvenue à l’exciter suffisamment, Evelyne se coucha sur le tapis, et, écartant de ses doigts les lèvres de son sexe en une pose volontairement ultra provocante, les cuisses largement ouvertes, elle fit à l’homme une invitation irrésistible. Tout, tout plutôt que des coups supplémentaires sur ses enfants…
L’homme s’agenouilla, posa son gland sur les lèvres intimes qu’on lui offrait et « En avant ! ». D’un puissant coup de reins, il fit glisser en elle son membre rigide. Le corps délicat et raffiné d’Evelyne se cabra souplement sous la poussée. Sans aucune lubrification intime - pas encore… - elle soufrait fortement mais elle sut garder un contrôle suffisant d’elle-même pour maintenir un semblant de sourire auquel elle tenta de donner une expression lubrique. A mesure que le va-et-vient de l’homme s’établissait, elle ne parvenait plus à donner le change, aussi elle choisit, pour dissimuler sa détresse, d’enfouir son visage dans le cou de son violeur en un geste qui extérieurement pouvait passer pour un tendre câlin…
« On est décidément bien tombés : notre bourgeoise est sur une véritable pro ! » commenta Fatou « C’est bien ! Continue ma belle ! Vidange le à fond ! »
Ces mots là lui firent plus mal encore que le viol. Allongée sur le dos, elle se faisait désormais proprement « labourer » par son puissant amant, qui ne semblait pas le moins du monde pressé d’en finir. Il prenait tout son temps et faisait durer son plaisir. En lui écartant les fesses de ses deux mains, il plongeait en elle avec vigueur et lui imposait simultanément un baiser sur la bouche qu’elle était dans l’obligation de lui rendre.
Du coin de l’œil, elle ne pouvait manquer de voir Charlene et John, qui regardaient comme hypnotisés le viol public de leur mère. La forcer à se donner ainsi sous leurs yeux permettait à leurs ravisseurs d’atteindre deux objectifs à la fois : la briser elle directement et eux indirectement.
Elle était sans illusion sur la force du spectacle qu’elle leur donnait là : ouverte, couchée sous le male, possédée. Les lèvres de son vagin entourant et glissant le long du pieu luisant qui la forçait, étaient visibles de tous du fait de ses jambes relevées au tour de la taille de l’amant qu’on lui imposait. Evelyne s’exhibait comme jamais. Elle devait y ajouter le spectacle du baiser fougueux auquel elle était contrainte. Mère, elle était obligée de donner l’exemple de la prostitution à ses enfants.
Le salaud ! Elle lui en donnait et se donnait comme jamais elle n’avait de sa vie « gâté » aucun autre homme, que ce soit son mari ou ses amants. Et elle faisait sous la contrainte, avec la seule force de sa volonté, sans le soutien d’aucun sentiment amoureux pour son partenaire, regrettant alors amèrement de s’être tant réservée dans sa vie antérieure avec des hommes qu’elle appréciait alors qu’aujourd’hui (et demain…) c’est pour des violeurs qu’il lui faudrait avoir et renouveler toujours de telles faveurs…
Le deuxième gardien s’était approché de Charlene et la malheureuse jeune femme dut, comme la veille, lui offrir longuement sa bouche jusqu'à la plus complète satisfaction…
Pendant ce temps, le supplice de la mère se terminait. Le male en rut avait entamé une sorte de galop final, martelant littéralement le somptueux corps offert. Elle faisait face du mieux qu’elle pouvait en attendant impatiemment qu’il éjacule enfin au plus profond d’elle-même. La décharge libératrice finit par venir, copieuse et grasse. Elle laissa l’homme s’apaiser, toujours planté en elle, avant qu’il ne se retire avec un «Ssouppss » sonore quand sa queue se libera. Un trop-plein de sperme commença à sourdre doucement hors du vagin rose encore ouvert à la vue de tous.
« C’est bien ! » Lui dit Fatou. « C’est comme si tu connaissais déjà tout du métier ! »
Le lendemain matin Fatou accompagnée d’un garde vint extraire Evelyne seulement de la cellule. Elle fut poussée dans une chambre où pas moins de cinq autres gardes les attendaient. Ils la firent s’allonger sur un lit et les hommes lui saisirent bras et jambes, les écartèrent largement et l’immobilisèrent ainsi fermement sur le lit de toutes leurs forces conjuguées. La malheureuse s’attendait à subir un viol multiple quand une vieille femme asiatique, habillée avec soin et au maquillage raffiné fut introduite dans la pièce par Fatou. Elle posa un vanity-case au pied du lit, en sortit délicatement une fine seringue couronnée d’une aiguille et elle vint se poster entre les cuisses ouvertes d’Evelyne.
« Ne bouge pas ! Ce n’est que du silicone injectable : On va t’améliorer un peu pour te mettre plus au goût des clients. Madame Li n’a pas son pareil pour mettre en valeur nos marchandises… »
Evelyne, terrorisée, entreprit au contraire de tenter de se libérer de l’emprise de ses ravisseurs. Fatou démasqua alors une main prolongée d’une sorte de longue télécommande noire et Evelyne fut instantanément foudroyée par une terrible décharge électrique.
« Un petit coup de jus, juste pour t’avertir. Je recommence en doublant la dose au moindre nouveau mouvement de ta part. C’est mon dernier avertissement : Tiens toi tranquille ! »
Evelyne, le souffle coupé, se tint désormais parfaitement immobile, le regard fixé vers le plafond, la brûlure à son coté encore cuisamment sensible. Madame Li, concentrée, commença son patient travail. Evelyne sentait parfaitement les doigts précis qui, en bas, écartaient ses lèvres intimes et les morsures régulières de l’aiguille en de multiples endroits successifs.
Tout l’entrejambe d’Evelyne lui fit l’impression de s’échauffer au fur et à mesure que le corps étranger était introduit dans ses chairs, les distendait, les remodelait. Madame Li s’interrompit plusieurs fois pour recharger sa seringue au grand désespoir de sa victime épouvantée par les conséquences à long terme de cette irréversible chirurgie. Soudain l’aiguille pénétra le clitoris lui-même, le si sensible bouton d’amour. Evelyne trembla de tout son corps à la fois de douleur et de révulsion, mais parvint à rester immobile. Là encore, la matière étrangère fut introduite, étirant douloureusement les chairs si intimes et si pleines des plus fines terminaisons nerveuses.
Le calvaire prit fin. Madame Li et Fatou se souriaient et semblaient pleinement satisfaites. Evelyne put se redresser et fut immédiatement reconduite vers la cellule, qu’elle rejoignit d’une démarche difficile, avançant comiquement les jambes largement écartées du fait de la brûlure cuisante qui lui dévorait l’entrejambe.
Revenue auprès des siens, elle put enfin constater par elle-même les dégâts. Ses deux jeunes ne détachaient pas leurs yeux de son bas ventre et Charlene ne faisait qu’ouvrir et fermer la bouche comme un poisson cherchant de l’air tant l’horreur qu’elle avait sous les yeux semblait l’étouffer. On avait fait à sa mère d’obscènes grandes lèvres vaginales couronnées d’un clitoris protubérant de la grosseur de la phalange d’un doigt ! La douleur était intense et dura tout le reste de la journée. La honte était plus immense encore et ne finirait jamais…
Le soir et le lendemain de l’opération, elle fut épargnée, afin de laisser à ses chairs meurtries le répit nécessaire. C’est la fine Charlene seule qui, allongée sur le tapis, dut satisfaire les deux gardes sous les yeux impuissants et résignés de sa mère et de son frère. Les deux colosses se vidèrent en elle l’un après l’autre avec des grognements satisfaits.
Le jour d’après, Evelyne reprit sa place sur le tapis aux cotes de sa fille. Elle était en un sens heureuse de pouvoir ainsi éviter à son enfant un double viol en prenant pour elle même une des deux parts de foutre à faire jaillir. Dérisoire consolation… John, à genoux, finissait pour sa part de faire jouir à coups de langue la rude geôlière arabe.
Cette séance dite d’« assouplissement » se répétera chacun des jours suivants. Obtenir des deux jeunes un peu plus qu’une participation passive aux séances de viol nécessita bien quelques coups de fouet ou de teaser électrique supplémentaires, mais on pouvait leur en fournir autant que nécessaire… Au bout de dix jours, Fatou était satisfaite : tous les trois, sur simple commande, se prostituaient désormais avec ardeur. Ils étaient prêts pour être présentés aux acheteurs potentiels que l’Internet avait déjà alertés.
Part 4 - La vente
Nue, maquillée, juchée sur de longs talons aiguilles, une fine chaîne dorée autour de la taille et une autre à la cheville, Evelyne attendait immobile sous la lumière crue. Ouverte, les jambes écartées, les seins dressés, les deux mains posées sur le crâne, elle se laissait fouiller, palper, évaluer. L’acheteur était derrière elle maintenant et ses mains descendaient le long de son dos, puis sur ses fesses, testant la fermeté des chairs comme la douceur du grain de la peau. Il avait commencé précédemment par son ventre, soupesant les seins et jouant d’un doigt sur son clitoris désormais obscénement protubérant. Un doigt se posait maintenant sur l’anneau brun et musclé de son anus et poussa pour y pénétrer. Evelyne prit soin de n’offrir aucune résistance. Au contraire même, elle força légèrement ses sphincters pour lui faciliter l’introduction et tenta un maladroit mouvement du bassin, tendant ses fesses vers la main qui s’introduisait en elle en forme d’invitation lascive. Un deuxième doigt s’introduit à son tour et commença à lui élargir le cul. Elle devait plaire, absolument et à tout prix, pour garder ses petits avec elle, son seul et dernier trésor désormais.
« Very nice French whore indeed… » Lâcha l’homme posté derrière elle.
[Une très belle putain française en effet…]
Elle n’avait encore jamais été enculée par personne. Elle était parfaitement vierge de l’anus. Il ne lui avait pas échappé que lors de tous les viols des jours passés, on lui avait épargné ainsi qu’à ses enfants cette humiliation et cette douleur. Mais elle était certaine aussi que ce jour là viendrait tôt ou tard… Sûrement avait-on prévu de mettre à prix cette virginité là aussi… Elle continua de faire aller et venir son bassin d’avant en arrière, forçant l’entrée en elle de cette main étrangère, s’enculant volontairement puisque c’est ce qu’apparemment on attendait d’elle. Son conduit anal lui faisait atrocement mal, forcé qu’il était sans lubrification aucune, mais surtout, elle était devenue rouge de honte, les joues en feu, à cause du spectacle qu’elle donnait devant les yeux de ses propres enfants.
La honte avait commencé avant d’entrer. Fatou s’était approché des deux femmes avec à la main un petit pot plein d’un onguent translucide. Elle l’avait appliqué sur les tétines de leurs seins, puis en avait enduit leurs vagins, avant de les diriger toutes les deux vers la salle d’exhibition d’une méprisante tape sur les fesses. Immédiatement Evelyne avait senti la chaleur montrer en elle. Ses seins s’étaient dressés, comme animés d’une vie propre. En haut de ses cuisses, d’abondantes secrétions intimes commençaient à l’embarrasser. Charlene avait été mise dans le même état que sa maman à en juger par ses bouts de seins tendus et l’humidité visible à l’œil nu entre ses lèvres intimes.
Avant la mère, l’homme - Etait-il l’acheteur réel ou seulement son représentant ? - s’était d’abord approché de la sublime Charlene, lui touchant les seins, jaugeant ses dents, ses cheveux, puis descendant le long de son ventre plat vers son sexe. Il y avait introduit des doigts, la fouillant profondément.
« Virgin no more… To be expected with these Western bitches… » Siffla-t-il.
[N’est plus vierge… Il fallait s’y attendre avec ses salopes d’Occident…]
La jeune fille elle aussi ne s’était pas dérobée à l’immonde palpation, même si elle n’avait pas pu s’empêcher de détourner son regard.
Charlene et elle-même, femmes et belles, pouvaient naturellement être vendues sans difficulté. Mais John Junior ? Quel futur pour lui ? Brisé, hormoné, transformé en objet de plaisir sur mesure pour une clientèle gay, qui le défoncerait sans limite ? Ou bien éliminé car inutile, dépecé peut-être pour fournir de sinistres banques d’organes clandestines ? Mais surtout, s’ils venaient à être vendus séparément dans ce monde souterrain de la traite d’esclaves, c’était la certitude absolue pour les trois de ne plus jamais jamais se revoir. La certitude aussi de ne plus avoir jamais le réconfort, même très minime, d’être au moins ensemble pour affronter les inimaginables horreurs que le futur leur réserverait.
Elle en avait parlé avec John et Charlene la veille. Elle les avait convaincus facilement et elle leur avait fait jurer avec elle de tout faire, de tout accepter, de tout promettre en vue de ne pas être séparés. Il fallait absolument qu’ils soient vendus ensemble. Séduire à trois un acheteur. Qu’il prenne le lot. Qu’il trouve en eux suffisamment d’intérêt pour accepter de payer le prix plus élevé d’un lot d’esclaves.
Evelyne savait au fond d’elle-même que ceci signifiait la certitude à terme d’un surcroît d’horreurs à endurer. Vendues séparément, Charlene et elle pouvaient en effet encore espérer finir par servir comme prostituées dans un bordel quelconque. « En être descendue à n’espérer plus que de faire une fin comme putain dans un claque… Quelle dérision ! » Pensait intérieurement Evelyne. Quarante clients par jour ou plus. Peut être un peu moins les premières années, tant que leur beauté leur éviterait encore une mise à l’abattage pure et simple. Horrible sûrement, mais classique et, considéré froidement, encore un type de futur concevable. Au moins pour elles deux…
Mais obtenir qu’un acheteur les désire suffisamment pour les prendre comme un lot, tous les trois, suppose que ce riche acheteur veuille assouvir sur eux des envies et des fantasmes si particuliers et si abjects que seule une telle configuration peut lui procurer. Evelyne, adulte, était sans illusion aucune sur ce sujet. Rester à trois et être prêts à tout pour cela, c’était d’abord garantir à leur futur propriétaire une absolue servilité de chacun à ses moindres désirs, les possibilités de chantage de l’un sur l’autre étant absolument illimitées. Tout, absolument tout, deviendra alors possible pour le propriétaire, qui pourra tout demander et tout obtenir d’eux trois, même l’inimaginable… Ensuite être vendus en famille, acheter une famille, suppose logiquement un ou une propriétaire que le tabou de l’inceste fascine…
L’homme était maintenant auprès de John, soupesant longuement son pénis, étirant les testicules, comme ceux d’une bête. L’adolescent lui aussi avait été juché sur des chaussures de femme à talons aiguille, une fine chaîne dorée ornant aussi sa cheville, le vendeur tentant adroitement de suggérer par cette mise en scène androgyne le potentiel érotique de la marchandise offerte à la vente. Il se laissait faire, écartant les cuisses pour offrir le meilleur accès à son intimité. « Brave petit » pensa en elle-même Evelyne. Il lui fallut ensuite sucer et nettoyer avec sa bouche les doigts précédemment souillés dans le fondement de sa mère. John le fit sans hésitation marquée, montrant sa soumission en sachant maintenir un regard docile vis-à-vis de l’homme qui l’humiliait.
« Let them wank a little to see how hot they are…» Demanda l’homme.
[Faites les se branler un peu pour voir si ils sont bien « chauds »…]
Fatou, après traduction, s’avança et leur ordonna : « Masturbez-vous ! Allez, branlez vous ! Montrez que vous en voulez ! »
Ils obéirent tous les trois, enlevant les mains de sur leurs têtes pour les porter vers leurs entrejambes. Evelyne, au coeur de la honte, mais résolue à tout pour emporter le choix de l’acheteur, prit même sur elle de commencer à onduler lascivement du bassin. Libères de leur propre culpabilité par l’exemple venu de leur mère, ses deux enfants firent bientôt de même. Quel show ! Trois corps magnifiques en pleine lumière, leurs longues jambes musclées montées sur talons aiguilles, largement écartées et ondulant au gré de l’exhibition obscène des organes sexuels que les trois malheureux stimulaient avec une énergie si désespérée qu’on aurait pu finir par la trouver touchante...
Part 5 – Dans le lit du maître.
Cela avait marché : le lendemain Fatou était venue les informer que l’acheteur de la veille avait accepté de les prendre comme un lot. Ils allaient rester ensemble. Soulagement.
Du long voyage qui suivit, Evelyne ne se rappelait presque rien. On leur avait fait boire quelque chose avant de partir et, après, elle avait eu la tête lourde et elle ne faisait plus que s’endormir… Il y a avait eu une voiture, puis elle se rappelait d’un avion, un jet privé luxueux où elle s’était endormie à même le sol, le nez dans la moquette.
Tout les trois s’étaient retrouvés en Asie du Sud, en Indonésie devaient-ils apprendre plus tard de la bouche d’un serviteur qui savait quelques mots d’anglais. Une très vaste maison dans un parc, un ensemble de maisons en fait, gardées par des hommes et des chiens, servies par un personnel à la peau sombre et parlant une langue incompréhensible. Les rares vues possibles sur l’extérieur ne montraient au loin que des montagnes couvertes d’une dense forêt tropicale. Des hélicoptères pouvaient être entendus, allant et venant régulièrement, semblant être le seul moyen de rejoindre le monde extérieur. Aucune clôture visible. Peut-être le parc était-il immense ? Ou alors étaient-ils dans une île privée, une de ces milliers d’îles dont est faite l’Indonésie, pays refuge discret des fortunes colossales apportées par la récente et fulgurante ascension économique de l’Asie ?
Arrivée là, Evelyne avait pensé à se suicider. Mais, outre qu’elle n’était pas certaine d’en avoir le courage pour elle même, il lui aurait fallu aussi soit tuer ses enfants avec elle ( !) soit, pire peut-être, les abandonner seuls au désespoir de leur abject destin. De cette lâcheté là, elle était totalement incapable. Elle vivrait donc, elle se soumettrait à tout pour, tant que cela serait en son pouvoir, les épargner et leur apporter le peu de soutien maternel qu’elle pourrait pour traverser les horreurs que le futur leur réservait.
Ils furent présentés au maître le surlendemain soir après le dîner. Nus, alignés, ils virent arriver un chinois âgé, en peignoir, grand et un peu gros, fumant au moyen d’un long porte-cigarette de nacre. L’acheteur de la vente n’avait donc été qu’un représentant. Leur propriétaire tourna autour d’eux se concentrant sur les deux femmes en faisant tranquillement ses commentaires à voix haute. Il glissa par derrière une main rêche entre les cuisses d’Evelyne et la fit remonter vers son intimité. La mère se laissa faire, écartant même les jambes pour lui faciliter son intrusion. Placidement elle se laissa fouiller.
« An authentic ass-virgin, I have been told. And the daughter as well… Quite surprising for French women…” Commenta t-il.
[Une vraie vierge du cul m’a-t-on assuré. Et la fille de même… Vraiment surprenant pour des françaises…]
Apparemment satisfait, il fit signe à Evelyne de le suivre tandis que les deux enfants étaient conduits hors de la pièce par les serviteurs. Il la précéda dans une vaste et luxueuse chambre où trônait un lit immense couvert de cousins et aux draps de soie.
Le maître se déshabilla et alla s’allonger sur le lit. Evelyne dut regarder pour la première fois le lourd sexe jaunâtre qui balançait sous la bedaine du chinois. Cette masse de chair qui avait le pouvoir de décider de son avenir et de celui de ses enfants. Cette masse de chair à laquelle elle allait donner sa bouche, son sexe et, sûrement un jour aussi, la virginité de son cul. Cette masse de chair qui demain souillera et violera à son tour sa précieuse Charlene…
« Come and suck me like you all do it so well in Paris! »
[Viens là et suce-moi comme vous savez toutes si bien le faire à Paris]
Evelyne s’approcha et se glissa entre les cuisses écartées. Sa bouche fardée s’approcha du membre assoupi, s’ouvrit et sa langue se mit à donner de petits coups précis, sur les bourses d’abord puis, remontant le long de la queue endormie, vers le gland. Rapidement, sous cette stimulation adroite, le pénis grossit et la bouche soumise put entreprendre de l’avaler entièrement. Il glissa simplement dans la chaude caverne qui l’aspirait. Le maître, heureux, s’étira lascivement. La connaissance du combat contre elle même que devait mener Evelyne pour lui offrir une telle caresse ne faisait que renforcer son plaisir. La belle tête brune se mit à aller et venir lentement absorbant entièrement l’organe sexuel à chaque plongée, qu’Evelyne finissait le nez dans les poils pubiens de son bourreau. Au plus profond, c’étaient les contractions reflex de son arrière gorge qui faisaient comme un massage autour du gland déjà presque engagé dans son oesophage. Heureusement pour elle, un tel traitement était tellement exquis qu’il était impossible au maître de l’endurer plus de quelques minutes sans jouir.
Comme il avait ce soir là d’autres projets pour elle, il lui fit comprendre de cesser d’une poussée de la main sur son front et il lui dit :
« You would prefer a fuck, wouldn’t you? » [Tu préfères baiser, n’est ce pas ?]
« Y... Yes, Master. Of course. » Se força à répondre Evelyne, essayant de deviner les désirs de son propriétaire.
« Then ride me and make it good! » [Alors chevauche-moi et fait en sorte que ce soit bon !]
Elle avait compris. Elle se redressa, l’enjamba en plaçant ses pieds aux cotés des hanches de son maître. S’accroupissant, elle saisit le membre rigide entre ses doigts délicatement manucurés et en guida le nœud rougi vers l’entrée entrouverte de sa caverne intime.
D’un très lent mouvement continu vers le bas, elle s’empala alors sur lui jusqu’à venir sentir le contact de ses testicules contre la peau de ses fesses. On y était ! Pour la première fois - il y en aurait des centaines d’autres elle le savait - elle était la femelle prise par cet homme dont elle était devenu le jouet vivant. En tremblant, elle commença à monter et descendre par le jeu de ses cuisses, lentement pour maximiser son plaisir à lui, pour le faire durer, pour être inoubliable pour lui, pour se rendre nécessaire, indispensable même si cela était possible. Ses seins lourds se balançaient sur son buste en un fascinant ballet. Le maître en saisit et en étira les extrémités entre ses doigts crochus, la contraignant à se torturer elle-même à chaque empalement.
Animal obéissant, elle était tenue de soutenir le regard de celui qu’elle voyait peu à peu sous elle monter vers le plaisir, chaque marche qu’il franchissait vers l’orgasme étant une marche de plus qu’elle descendait dans l’abjection… Enfin le regard du maître se troubla et il arqua brutalement son corps vers le haut s’enfonçant encore plus profondément en elle si c’était possible. Elle ressentit une nette sensation de chaleur au fond d’elle-même, preuve des brûlants jets de sperme que l’homme déversait au fond de sa féminité profanée.
Elle resta emmanchée sur lui le temps qu’il ait fini de s’épancher en elle, lui laissant vivre son plaisir jusqu’au bout.
« Kiss me ! Say me thank you, slave! »
« Thank you Master. Thank you. » Dit doucement Evelyne en soutenant difficilement son regard.
Elle se pencha vers les lèvres de son maître, y posa les siennes et laissa leurs deux langues se joindre dans un baiser profond qu’elle prit grand soin de lui laisser l’initiative d’interrompre.
Elle dut encore le nettoyer, toujours avec sa bouche, avant qu’il ne l’autorise à partir. Evelyne quitta le cœur lourd la chambre luxueuse pour aller retrouver ses enfants. En marchant, elle pouvait sentir le sperme chaud qui s’écoulait doucement hors d’elle le long de l’intérieur de ses cuisses. Ce soir, pour la première fois, elle avait fait son devoir, tout son devoir. Un devoir d’esclave.
Le lendemain matin, Evelyne fut menée seule vers une pièce où plusieurs serviteurs, hommes comme femmes, l’attendaient. On lui fit comprendre de s’asseoir sur une chaise située au milieu de la pièce. Une fois assise, à sa grande frayeur, plusieurs des présents se saisirent d’elle et l’immobilisèrent fermement. Une jeune femme approcha alors une fine pince de son visage. Elle tenta de se dérober, mais tenue fermement au torse, à la tête et par les bras, elle ne put bouger d’un pouce. Une douleur fulgurante la traversa quand, d’un geste sec et précis, on lui perça la paroi du nez. Trois minutes plus tard elle repartait vers sa cellule, un anneau d’or décorant - ou défigurant c’est selon - son visage. Sur le retour, elle croisa sa fille que l’on poussait vers même supplice. Evelyne baissa les yeux en gardant le silence...
John lui aussi fut muni d’un anneau nasal le même jour. On lui installa en plus autour du pénis une sorte de cage fermée par une clef : s’il pouvait toujours uriner librement, toute érection lui devenait physiquement interdite. Il était la plus part du temps gardé seul, à part de sa mère et de sa sœur. Deux ou trois fois par semaine, les trois étaient réunis pour quelques heures, souvent le temps d’un repas, avant que le jeune homme ne soit reconduit vers sa solitude. Aucun mal ne lui était fait : parfois on l’utilisait pour des travaux de force sur le domaine, mais la plupart du temps il restait enfermé seul, comme en réserve… Evelyne comprit bien vite qu’il s’agissait d’une forme de chantage : on vous réunit de temps en temps pour vous prouver que tout va bien, tout en vous maintenant constamment à l’esprit qu’il pourrait facilement en être tout autrement…
Les deux femmes de leur coté étaient enfermées dans une sorte de studio dotée d’une douche et du nécessaire pour se maquiller, ainsi que de quelques bijoux de pacotille. Les seuls vêtements mis à leur disposition étaient des chaussures de soirée à talon. Rien d’autre, pas même des strings. La pièce ne comportait pour tout meuble qu’un large matelas, propre et assorti de quelques couvertures. Elles étaient nourries deux fois par jour et, pour le reste du temps, elles s’ennuyaient, réduites à devoir attendre pour savoir si elles seraient violées ou non le soir suivant, en fonction de la fantaisie de leur propriétaire. Ces sorties nocturnes étaient leur uniques « distractions » et elles en venaient même parfois à, d’une certaine manière, les souhaiter…
Deux jours plus tard. Evelyne et sa fille furent appelées ensemble dans la chambre du maître. Et ce fut cette fois au tour de Charlene d’être souillée pour la première fois par son propriétaire asiatique sous le regard de sa mère.
Une routine s’installa. Les deux femmes servaient leur propriétaire quasi-quotidiennement. Esclaves sexuelles dociles, elles se donnaient à lui et à ses vices sans qu’il ait à utiliser sur elles (ou sur leur fils et frère) la violence ou même seulement la menace de celle-ci. Evelyne restait en alerte espérant qu’un jour, quelqu’un ou quelque chose, lui permettrait de s’arracher et d’arracher ses enfants à leur esclavage. Pour cela il était primordial de tenir et surtout d’éviter tout ce qui pourrait amener le maître à les revendre, à les séparer ou à commettre sur eux (ou l’un d’entre eux) quelque barbarie irréparable. La docilité d’Evelyne cachait un calcul très rationnel d’où il ressortait que maximiser le plaisir du maître, qu’essayer de se rendre irremplaçable à ses yeux était le meilleur moyen de préserver les chances à long terme de sa famille. C’est donc en toute lucidité et par un immense effort de volonté qu’elle donnait soir après soir à ce quasi-vieillard les plaisirs les plus extrêmes et qu’elle acceptait d’avoir pour lui les complaisances les plus sales. Elle lui prostituait son corps magnifique dont elle veillait soigneusement à maintenir la beauté, se frottant à lui, l’embrassant le plus intimement, littéralement comme si sa vie en dépendait, et elle veillait toujours à son absolue satisfaction, l’invitant systématiquement à un nouveau rapport sexuel ou une nouvelle fantaisie jusqu'à ce que, fatigué, il décline et la faisait repartir dans ses quartiers.
Le risque du fouet était naturellement aussi une autre très très bonne raison aux ardeurs qu’elle témoignait dans le lit de son maître Cela va sans dire…
Réunies après les moments passés dans la chambre du maître, les deux femmes tentaient de se réconforter mutuellement comme elles le pouvaient. Maternelle, Evelyne prenait sa fille dans ses bras et l’aidait ainsi à s’endormir. Un soir elle dut faire face à une crise de désespoir, Charlene ne se pardonnant pas de s’être surprise à avoir un orgasme à l’issue d’une longue séance de prise en une profonde levrette par le maître. Evelyne dut mentir et lui affirmer qu’il s’agissait là d’une chose aussi naturelle et inévitable que la faim ou la soif, et que, elle aussi, en était déjà passée par là. Pieux mensonge, mais mensonge à demi seulement, Evelyne le savait, car son corps avait déjà été à deux doigts de la trahir, notamment du fait de la vicieuse modification apportée à son clitoris qui en était devenu hypersensible. Elle redoutait qu’un jour l’inévitable finisse par se produire effectivement. De toutes façons se disait-elle, il doit bien y avoir dans les armoires des pharmacies de ces pervers, les drogues ou les hormones appropriées pour que, si tel devenait le bon plaisir de leur propriétaire, plus rien ne puisse alors empêcher qu’elles soient contraintes de jouir à répétition, même parfaitement à leur corps défendant, et que le maître se fasse alors un spectacle de cette nouvelle étape de leur avilissement…
Part 6 - Enculées.
Chaque fois qu’elles se retrouvaient entre ses mains, le maître jouait à leur introduire un doigt dans l’anus. Rappel cruel de l’inévitable première sodomie dont lui seul déciderait du jour et de l’heure. Evelyne et Charlene y étaient résignées et en avaient parlé ensemble. Un sujet à propos duquel la mère ne pouvait, on l’a vu précédemment, pas enseigner grand-chose à sa fille...
Le maître faisait durer l’attente. Sage, il savait progresser pas à pas dans la gradation des « jeux » sexuels qu’il imposait à ses deux acquisitions, les forçant à se prostituer dans une dépravation sans cesse croissante, les dépouillant soir après soir de leur innocence comme on pèle soigneusement un oignon. Il savait tirer d’elles chaque soir un plaisir nouveau, gérant habilement son capital pour en tirer pour lui-même une jouissance maximale. Lorsque arriva le soir du jour qu’il avait choisi, il fit venir mère et fille ensemble dans sa chambre. Evelyne en entrant trouva au milieu de la pièce une sorte de banc courbé en fer à cheval, un bel objet de bois brut recouvert de cousins de velours rouge. Pour la première fois depuis que cette chambre était le théâtre de leurs viols, quatre serviteurs étaient présents, deux ayant à la main des cameras vidéo numériques.
« Display yourself there ! Tonight you will give me your ass’s cherry…”
[Place toi la dessus ! Ce soir, tu vas me donner la virginité de ton cul…
« C’est donc pour ce soir… » Se dit-elle en baissant la tête et, soumise, elle se mit en place de son plein grés à quatre pattes sur le meuble, les genoux sur les branches du fer à cheval, des branches dont l’écartement calculé la contraignait à écarter largement les cuisses et à offrir ainsi un parfait accès à son postérieur. La hauteur du meuble était telle que toute victime ainsi exhibée pouvait être prise par un homme debout, sans fatigue pour le violeur qui n’avait plus qu’à poser les mains de chaque coté du fessier largement offert et à l’attirer à lui…
Les cameramen se mirent en place, un par derrière et l’autre se concentrant sur son visage. « Le vieux salaud veut garder des souvenirs éternels de « ma première ». » Pensa-t-elle amèrement.
Le maître, moins par gentillesse, que poussé par le souci de son propre bien-être, accorda néanmoins une forme de douceur à la malheureuse Evelyne, même si elle la paya cher en terme de honte. Charlene fut requise pour lubrifier l’anus de sa mère puis, au moyen d’un phallus de plastique, dut « ouvrir » le fondement maternel et l’assouplir en anticipation du viol à venir. Ce pré-viol, de la mère par la fille, fut douloureux malgré toutes les précautions que pouvait prendre par Charlene et la camera n’en perdait rien, enregistrant chaque contraction, chaque grimace sur le visage de la femme. Le spectacle de l’avilissement de la mère par la fille, la vue des frissons (de douleur) qui parcourrait le somptueux corps de femme lorsque s’y enfonçait le god de plastique noir, provoqua vite une belle érection chez le vieux chinois.
Se dépouillant brusquement de son somptueux peignoir de soie, il fit signe à Charlene de se retirer. Evelyne le sentit se mettre en place derrière elle entre ses jambes écartelées. Puis il y eut le contact des ses cuisses contre les siennes et, immédiatement après, elle se figea lorsque le gland de l’homme vint au contact de l’anneau de son anus dilaté et luisant de lubrifiant.
L’œil de la camera enregistra comment le gland repoussa les chairs du canal anal pour forcer son chemin dans les profondeurs de l’esclave, s’enfonçant lentement mais continûment, centimètre par centimètre, élargissant l’orifice souple, jusqu'à ce que les couilles du chinois viennent au contact les grandes lèvres du vagin de sa victime. Malgré tout son immense contrôle sur elle-même, Evelyne ne put s’empêcher de trahir sur son visage le dégoût et l’horreur que lui inspirait ce qu’on la forçait à accepter. Avec le viol enregistré sous tous les angles, le maître pourrait se faire un beau montage de la perte de son pucelage anal. Enculée. Une enculée. Une enculée jusqu'à la garde, voila ce qu’elle était désormais. A la vue de tous et toutes.
Désormais à son aise en elle, les mains crochées sur les lobes de ce beau fessier, dont il pouvait user à volonté, il commença son travail de sape, pilonnant, pistonnant, l’enculant de toutes ses forces, avec toute la vigueur qu’il pouvait trouver en lui. Le fait d’enculer une blanche le stimulait suprêmement. A grands coups de reins, il l’empalait, jouant du pouvoir sexuel de sa queue enfouie en elle. Une fois au fond du ventre de son esclave, il ressortait presque totalement de l’anus dilaté, le gland au bord du cratère brun, puis repartait au fond du boyau, qu’il élargissait ainsi impitoyablement, poussée après poussée.
La française vivait l’assaut bestial comme un cauchemar éveillé. Elle était à deux doigts de préférer le fouet à cette abjection. Et encore, et encore… Cela durait abominablement. Enfin, enfin il se lâcha et éjacula dans le fin fond son cul profané. Il grogna tel un fauve. Il resta un grand moment en elle, collé contre elle, puis, sa queue perdant lentement du volume, il se retira. Evelyne resta en place, brisée de douleur et de honte. Elle aurait aimé pouvoir refermer son fondement mais rien n’y faisait : elle ne commandait provisoirement plus à son propre corps. Le chinois lui avait littéralement « cassé le cul ». Et la camera, qui vint enregistrer quand elle commença à se vider du surplus de leurs secrétions mêlées, fit le pendant de celle qui immortalisait les larmes de honte qui glissaient silencieusement sur ses joues, emportant son maquillage…
Une semaine plus tard. Evelyne et sa fille furent à nouveau appelées ensemble dans la chambre du maître. Et ce fut cette fois au tour de Charlene d’être défoncée par derrière pour la première fois par son propriétaire asiatique sous le regard des cameras et de sa mère, cette dernière ayant eu à préparer le vieil homme par d’une fellation savante avant qu’il ne soit en capacité de posséder sa fille.
Part 6 – Servir les invités.
Ce soir là, Evelyne et sa fille furent amenées nues au grand salon. Le maître finissait d’y prendre un thé digestif avec deux étrangers à la maison, un homme d’affaire asiatique, malais ou peut être thaï, la belle cinquantaine aux cheveux argentées, et une femme chinoise assez grasse, déjà sûrement largement dans ses soixante ans et dont le regard perçant glaça le sang d’Evelyne. Une lesbienne, elle en était certaine à 100%. Et une lesbienne vicieuse…
La conversation était en mandarin, mais il n’était pas difficile pour les deux esclaves de comprendre que le maître ne proposait rien de moins à ses deux invités que de se choisir un jouet sexuel pour la nuit ! Evelyne pria alors Dieu (s’il y en avait un pour elles…) que l’homme choisisse sa fille et qu’il épargne ainsi à son enfant l’horreur d’une nuit dans le lit d’une telle femme. Mère et fille durent s’exhiber, jambes écartées, mains sur la tête en ondulant du basin. Et le Ciel exhaussa ses vœux : c’est d’elle, Evelyne, dont la vieille chinoise avait envie ce soir.
Charlene partit ainsi vers une probable longue, mais sinon par ailleurs « classique », séance de fellation/pénétration/sodomie aux mains de cet homme non choisi certes, mais finalement assez physiquement acceptable. La mère savait sa fille désormais suffisamment endurcie en ces matières pour que ceci puisse être envisagé comme un moindre mal.
Pour elle, la nuit serait longue. Elle n’avait aucune illusion à ce sujet et c’est le cœur très lourd qu’elle suivit comme un animal docile la vieille femme lorsque celle-ci choisit de se retirer dans la luxueuse chambre qui avait été mise à sa disposition pour la nuit. Le maître avait cru bon de lui faire savoir au moment ou elle quittait la pièce :
« Good night! And you, whore, make her happy or else your son… »
[Bonne nuit ! Et toi, putain, rends la heureuse sinon…]
La première menace jamais entendue dans sa bouche depuis son arrivée sur le domaine. Evelyne se le tint pour dit…
La chinoise se déshabilla, révélant un corps âgé, ridé, au ventre rond et aux seins tombant avec des bouts larges et extrêmement sombres. Elle tenait sa toison pubienne soigneusement rasée, comme celle d’une petite fille, mais avec des lèvres intimes larges et un peu distendues. Elle posa enfin sur la coiffeuse sa perruque laissant voir un crâne presque dégarni couvert seulement de quelques mèches blanchâtres.
Elle revint sur ses pas et, se collant contre Evelyne, entreprit le viol méthodique du corps sain et sublime qui était sa proie pour la nuit. La vieille savait tout, c'est-à-dire bien plus qu’Evelyne, sur le sexe entre femmes, et elle ne lui épargna rien ni aucune caresse ni aucun attouchement. Evelyne dut embrasser, lécher et caresser l’entièreté de ce corps usé, aucune répulsion, aucune pudeur ne comptant plus. La chinoise s’échauffait à mesure que duraient ces jeux saphiques et maintenant elle fouillait littéralement le corps soumis de la française.
Evelyne dut consentir à tout, absolument à tout. C’était un viol total, qui allait infiniment plus loin dans l’intime que tout ce que les hommes dans leur furie sadique lui avaient fait subir jusque là : à la vieille, femme comme elle, elle ne pouvait rien dissimuler, rien cacher…
Puis l’ancêtre se leva et alla sortir d’une de ses valises un god double avec ceinture. Elle introduit délicatement le plus petit bout à l’intérieur de son propre sexe et ajusta et ferma la ceinture de cuir autour de sa taille. Ainsi équipée, elle allait pourvoir vivre ses fantasmes jusqu’au bout. Le faux pénis flexible qui depuis l’entrecuisse de la chinoise pointait vers Evelyne, était massif avec la représentation des veines et du gland bien marquée. Evelyne, qui n’avait encore jamais eu quelque chose d’aussi imposant en elle, eut une dernière pensée pour remercier le ciel d’avoir au moins épargné ce supplice à sa fille si fine et longiligne. Et puisque elle-même avait su accoucher deux fois, il ne lui restait qu’à compter sur la souplesse naturelle de son corps…
La vieille lui fit l’aumône de lui permettre de sucer le god pour offrir quelque lubrification préliminaire. Les mouvements de la tète et de la bouche de la française sur le god extérieur se transmirent au god intérieur offrant a la vieille lesbienne un avant-goût des plaisirs à venir. Evelyne s’efforçait de saliver le plus possible pour lubrifier au mieux le latex, ce qui la contraignait à émettre les sons de succion disgracieux… D’un simple signe de tête, la chinoise lui fit savoir que c’était assez. L’esclave française s’allongea sur le dos et s’exposa son intimité en vue de son immolation imminente.
La vieille la défonça.
Forcée, ouverte, écartant ses cuisses autant qu’elle le pouvait, comme clouée sur ce lit comme un papillon, elle était convaincue que jamais son corps ne retrouverait sa forme initiale après avoir laissé s’introduire en elle un pareil mandrin... Et tout cela pour la simple transmission par le média du double god de vibrations bienfaisantes au sein du sexe de la vieille… « Qu’elle sinistre perversion ! » pensa Evelyne, qui dut offrir sa bouche servile à un long et impératif baiser profond. La chose dura une éternité avant que la chinoise, le feu dans les yeux, ne finisse par se faire jouir au travers de l’accouplement mécanique qui liait les deux femmes.
Même repue, la vieille n’en avait pas encore fini avec son jouet d’un soir. Evelyne dut subir l’enlacement de la chinoise qui voulut s’endormir toujours fichée dans son vagin, mais en la prenant par derrière celle fois, les deux femmes couchées en chien de fusil, la vieille dans le dos de l’esclave. Evelyne connut là une longue nuit sans sommeil, son intimité distendue, veillant à ne pas troubler le repos de sa maîtresse, dont elle sentait la respiration régulière sur ses épaules.
Au matin, la française dut s’acquitter d’une dernière longue caresse buccale, la tête profondément enfouie dans la moiteur des cuisses de l’ancêtre, réveillant de la langue la sensualité fatiguée de la dominatrice lesbienne avant d’être autorisée à partir et à dormir enfin.
Part 7 - Plongée dans l’enfer de l’inceste.
Evelyne avait vu juste dès la veille de la vente : Acheter une famille, suppose un ou une propriétaire que le tabou de l’inceste fascine. Dès leur première présentation au maître, elle en eut la sinistre confirmation à l’écoute de ses commentaires sur sa récente acquisition et son insistance malsaine sur « Family » et ces « Nice family… » Qu’il répétait avec une évidente gourmandise. En jour ou l’autre Evelyne savait que l’ignoble moment viendrait…
Evelyne redoutait que le maître, malgré tout l’empressement dont elle faisait preuve à son égard, ne finisse par se lasser un peu d’elles et qu’il ne veuille ranimer son désir par des spectacles ou des machinations « plus corsées »…
La première fois eut lieu une nuit qu’Evelyne et Charlene avaient été appelées ensemble pour servir le maître en sa chambre. Allongé sur son lit, il se faisait administrer, comme plusieurs fois déjà dans le passée, une fellation à deux bouches par la fille et la mère. Mais, alors que la fille l’avait en bouche et travaillait le gland d’un mouvement tournant de sa langue, et tandis qu’Evelyne, le nez dans la toison pubienne du vieux, léchait les bourses poilues, le maître se redressa et leur ordonna :
« Kiss ! Kiss yourself ! Play with each other in front me ! »
[Embrassez-vous ! Faites l’amour devant moi !]
Les deux femmes, qui comprenaient toutes les deux parfaitement l’anglais, surent instantanément qu’un nouvel instant de vérité était arrivé. Se redressant lentement, elles se regardèrent l’une l’autre, désemparées, perdues. Il n’y avait pas d’alternative. Il fallait obéir. Mais Charlene vit dans les yeux de sa mère que celle-ci ne pouvait pas, que ce qu’on exigeait d’elle était au-delà de la force de sa volonté. C’est alors la fille qui prit les choses en main et qui guida sa mère à la dérive.
C’est elle qui approcha ses lèvres de celles de sa mère, qui joignit leurs deux corps en un baiser d’abord très doux, puis de plus en plus sexuellement chargé. Elle l’enlaça, mimant d’abord les caresses avant de rendre ses gestes plus précis et plus appuyés, glissant ses mains vers les lourds seins maternels et leurs tétines qu’elle sut tendrement faire durcir, puis enfin vers l’entrejambe humide. Evelyne perdue se laissait dominer et conduire. L’habileté de sa fille la surprit. L’excitation de ses lèvres par la fine langue agile puis la simulation de ses glandes mammaires provoquèrent en elle une montée d’excitation sexuelle, d’autant plus qu’étant inconsciemment si certaine, et depuis si longtemps, qu’une telle aventure incestueuse était inscrite dans leur futur, cela avait en quelque sorte constitué une préparation psychologique qui avait réduit en elle l’horreur instinctive associée à un tel événement. Charlene restait avec John la dernière personne avec qui existaient des relations basées sur la tendresse, le respect et l’amour. Charlene qui l’enlaçait était la dernière personne qui ne lui voulait pas de mal. Lorsque les fins doigts de sa fille se posèrent sur son clitoris proéminent et hypersensible, ce fut comme si une digue se rompait dans le cœur de cette femme qui avait assumée tant de choses si lourdes et depuis tant de semaines…
Elle se mit à rendre ses caresses à sa fille, par la bouche d’abord, puis avec ses mains, caressant le corps magnifique de son enfant, de la chair de sa chair. En elle vivait désormais une envie irrésistible de donner du plaisir, de faire le bien, de faire jouir encore et encore ce corps ami et précieux et d’épuiser dans une extase sexuelle leur amour mutuel.
Les deux femmes se faisaient maintenant furieusement l’amour, se donnant absolument l’une à l’autre et ignorant totalement le regard voyeur que leur maître posait sur elles. Celui, redressé sur le lit, mangeait des yeux le spectacle de ces deux créatures somptueuses emportées par un ouragan de passion sexuelle. Il en conçut une excitation incroyable et développa une érection formidable qu’il n’avait nul besoin d’encourager par une quelconque masturbation.
Evelyne et Charlene s’étaient mises en position de « 69 », Charlene en dessous, et, les cuisses largement ouvertes l’une à l’autre, ne vivaient plus que dans la fièvre de se faire jouir réciproquement. Son clitoris boursouflé faisait de la mère une proie plus facile et elle parvint avant sa fille à un premier et puissant orgasme, redressant sa tête pour gueuler sans retenue son bonheur animal, ses lèvres luisant des secrétions intimes de sa fille. Provisoirement assouvie, elle replongea la tête entre les cuisses ouvertes et entreprit de plus belle d’amener à son tour Charlene à l’orgasme. Celle-ci sentit sa mère pourchasser furieusement de la langue son bouton d’amour pendant que les doigts maternels introduis dans son fondement lui procuraient une excitation délicieuse. Son ventre musclé eut une série de contractions de plus en plus puissantes et incontrôlables jusqu'à ce qu’elle expulse de son vagin jusque dans la bouche d’Evelyne une large quantité de liquide intime et qu’un orgasme monstrueux la submerge et l’emporte. Elle aussi hurla à son tour son plaisir à s’en casser la voix...
Le maître, transporté de désir, vint alors se placer derrière Evelyne, ses cuisses poilues venant surplomber le visage de Charlene. Il introduisit son membre infiniment dur dans le vagin gluant de la mère et ordonna parallèlement à la fille :
« Lick my balls, you whore ! » [Lèche moi les boules, toi la salope !]
Le propriétaire reprenait ses droits. La jeune femme obéît docilement et commença à faire tourner sa langue agile autour des testicules du chinois. Celui-ci, ayant empoigné Evelyne par les hanches, la baisait de grands coups de reins. Son intimité défoncée et le contact régulier des testicules de l’asiatique contre son clitoris gorgé de sang conduisirent l’esclave française à un deuxième orgasme, aussi puissant que le premier. Simultanément son maître jouit lui aussi, le sexe massé par les contractions internes du vagin de l’esclave jouissante, et il vida comme jamais à l’intérieur de son somptueux jouet vivant. Le foutre excédentaire coulant comme l’eau à la fontaine à l’extérieur du vagin maternel, Charlene eut à le recueillir dans sa bouche et elle l’absorba en elle.
Vidées de leurs forces, les deux femmes en sueur gisaient l’une sur l’autre. Avec le peu de lucidité qui restait dans son cerveau épuisé, Evelyne savait qu’« ils » avaient gagné : ils lui avaient fait, ainsi qu’à sa fille, franchir un cap d’au-delà duquel personne ne revient jamais. Ils avaient perverti son esprit ainsi que celui de Charlene, brisant leurs barrières morales les plus sacrées et avaient fait d’elles des monstres. Plus rien, plus aucun frein après cela ne les arrêterait jamais sur le chemin de la perversion. Elles ne résisteraient plus, ne refuseraient rien quelque soit l’abjection des demandes. Elles étaient condamnées…
Ayant repris quelques forces, la mère et la fille se redressèrent, se relevèrent, et, sans un mot de leur maître ni sans un regard pour lui, elles quittèrent la chambre, main dans la main.
Le lendemain matin, un profond changement se produisit dans l’organisation de leur vie quotidienne. Le chinois, homme fin et bon connaisseur de l’âme humaine, avait intuitivement compris la nature du bouleversement qui venait de se produire dans l’âme de ses deux esclaves femelles. Il ordonna en conséquence qu’elles vivent désormais séparées dans deux studios distants. Ainsi sa chambre à lui devenait le seul endroit ou elles se retrouvaient en présence l’une de l’autre. Il attendait ainsi – et son stratagème fonctionna à merveille – que leurs étreintes lesbiennes en sa présence en deviennent encore plus « chaudes », intimes et passionnées. Vivant désormais dans une solitude renforcée, frustrées de la présence de l’être ami, frustrées sexuellement, les deux femmes ne pouvaient s’empêcher, remises en présence l’une de l’autre, de laisser libre cours à un sentiment ou l’amour humain, le besoin de fraternité et l’envie sexuelle composaient un mélange explosif. Par le spectacle de leur passion, le maître avait trouvé le moyen d’accroître son propre plaisir à la fois comme voyeur de leurs ébats et par la démonstration de sa dominance absolue sur l’esprit et l’âme de ses deux captives. Apres cette soirée, elles durent répéter leur duo sexuel à chaque fois qu’elles furent demandées par lui, celui-ci se finissant dans l’une ou l’autre, bouche, vagin ou cul suivant son bon plaisir.
Un autre changement fut que le vieux, fasciné par le surcroît d’excitation que provoquait chez la mère la modification apportée à sa zone clitoridienne, voulut disposer d’un pouvoir similaire sur la fille. Cela se fit au moyen de la pose d’un anneau d’or au travers de la base du clito de cette dernière, un anneau dont le passage empêchait mécaniquement la rétractation du bouton au cœur des chairs intimes. La chose fut si efficace, que la semaine suivante, Evelyne portait un ornement semblable. Ce qui avait autrefois été la cause d’une crise de désespoir chez la fille devenait leur réalité quotidienne : on les forçait mécaniquement à l’orgasme pendant les viols…
Enfin, pour briser plus encore le trio au plan psychologique et rendre la chose encore plus irréversible, John fut contraint – une boule de caoutchouc engagée dans sa bouche pour faire taire toute possible protestation – à être le fréquent spectateur des furies saphiques de sa mère et de sa sœur. Il les vit faire et elles avaient vu qu’il les avait vu...
Part 8 – Plus loin encore…
Une grande fête se préparait manifestement. Le domaine bruissait d’activité et les deux esclaves avaient été prévenues individuellement de se préparer au mieux.
On vint chercher Evelyne alors que la nuit était tombée et elle fut amenée dans la salle prévue pour la fête, nue comme toujours hormis les fines chaussures à hauts talons. Les invités du maître étaient là, assis en un large cercle autour d’une scène centrale improvisée. Un murmure d’admiration et d’envie marqua l’arrivée de cette belle femme nue qui, à 39 ans maintenant, révélait une beauté peut-être effectivement encore supérieure à celle dont la jeunesse et les années de danse classique gratifiaient sa fille.
Elle retrouva Charlene qui l’y attendait depuis quelques minutes immobilisée milieu de la scène par un dispositif aussi simple qu’efficace : Une fine chaîne de métal partait entre ses cuisses depuis l’anneau clitoridien, passait au travers d’un anneau fixé au sol au niveau du nombril pour allait rejoindre l’anneau nasal. La seule position tenable pour la jeune femme était de se maintenir à quatre pattes la tête baissée et les fesses dressées, son intimité visible et accessible de tous.
Evelyne fut mise en place parallèlement à sa fille à environ deux mètres de distance à sa gauche. Comme elle aurait voulu être autorisée à s’enlacer avec elle et laisser courir son brûlant amour, même au prix d’une obscène exhibition supplémentaire sous les yeux de la trentaine de riches voyeurs que le maître avait rassemblés ! Mais elle avait compris que ce n’était pas cela qu’il avait prévu pour elles ce soir là. Les deux cameras vidéo sur trépied installées au bord de la scène et le flot de lumière baignant le cœur de l’arène ne lui disaient rien de bon, mais, au terme de tant d’épreuves, Evelyne était désormais bien au-delà d’une honte aussi mineure...
Un bâillon fait d’une large boule de caoutchouc tenue par une lanière de cuir fermée derrière la tête fut appliquée aux deux femmes. Regardant autour d’elle, la française ne voyait que des regards luisants, excités par les alcools d’un bon repas et qui attendaient avec paillardise quelque surprise extraordinaire que leur hôte raffine avait imaginée pour eux. Aux cotés de l’asiatique, assise sur un fauteuil au premier rang, elle reconnut la vieille chinoise lesbienne, qui l’avait tant « forcée » lors de la sinistre nuit.
Le maître frappa deux coups brefs dans ses mains. Les deux femmes captives virent entrer John, leur John, nu, poussé en avant vers elles par deux serviteurs. Son organe sexuel avait été libéré de sa cage d’acier. Ses mains étaient menottées très court derrière son dos. Evelyne pouvait constater en se retournant que la vue des deux féminités nues et offertes provoquait chez son fils une excitation grandissante et incontrôlable, conséquence inévitable de plus de deux années de frustration sexuelle absolue imposée à un corps de vingt ans.
Les serviteurs le firent s’agenouiller derrière elle. Immobilisée comme elle l’était, elle ne pouvait en rien protéger l’accès à ses parties intimes. Largement ouverte et exhibée, elle sentait l’air s’écoulait le long de l’intérieur de ses cuisses et sur les lèvres entrouvertes de son vagin. Elle ne pouvait qu’imaginer le spectacle qu’elle donnait ainsi : un appel puissant aux pulsions les plus primitives d’accouplement. La boule enfoncée dans sa bouche la réduisait au silence. Elle sentit la chaleur du corps de son fils au contact des ses cuisses et de ses fesses. Elle trembla d’horreur à l’anticipation de ce qu’on allait les forcer à faire.
« Pardon maman. Pardon… Oh pardonne moi s’il te plait… »
Il poussa ensuite un immense et si profond soupir de soulagement à l’instant, où elle sentit la virilité de son fils qui s’enfonçait au plus profond d’elle-même.
Immédiatement John, comme emporté par son désir trop longtemps contenu, se mit à la pilonner avec frénésie, sa queue entrant et sortant à toute vitesse de l’orifice maternel. Sa mère, pour s’éviter d’être déchirée au nez ou au sexe, se devait de synchroniser précisément les mouvements de son corps avec les poussées que lui imposait son fils, donnant ainsi involontairement un caractère harmonieux à leur accouplement bestial. En une dizaine d’allers-retours seulement John junior explosa en elle, poussant en une puissante contraction de ses cuisses et de ses fesses pour se vider au plus profond de cette caverne pour lui si bienheureuse.
« Pardon... Pardon maman…Pardon… » Se mit-il à pleurer, à la fois si soulagé et parfaitement désespéré.
Elle s’était faite prendre comme une jument au montoir, comme une chienne montée par le male dominant la meute : vite, brutalement et sans soucis de son plaisir à elle. Mais pour celle dont le corps était livré depuis deux années exclusivement soit à un amant de prés du double de son âge soit forcé au lesbianisme, ce rut animal, certes frustrant, avait réveillé en elle le goût trop longtemps oublié d’autres étreintes…
Des applaudissements et des sifflets enthousiastes virent saluer cette première performance. Celle-ci avait été naturellement bien trop rapide au goût du public rassemblé, mais John, frustré de tout soulagement sexuel depuis tant et tant de mois, avait encore de profondes réserves en lui. Une minute seulement après avoir sailli sa mère, son érection avait repris et c’est cette fois derrière Charlene que les assistants le firent s’agenouiller. La jeune femme ne put pas plus se soustraire à l’envie de son frère, mais elle grogna et secoua la tête furieusement pendant tout le temps leur accouplement contre nature, en témoignage de sa rage et son désespoir.
A peine apaisé dans les entrailles de sa sœur aînée, John pouvait renouveler une fois de plus sa performance et c’est d’ailleurs bien ainsi que l’entendait le maître Il monta derrière sa mère et en quelques minutes de copulation fiévreuse, il injecta en elle encore plus de sa semence fertile.
Après une quinzaine de minutes, il retrouva la force nécessaire pour revenir labourer sa sœur une seconde fois. Il la lima longtemps et Evelyne ne put qu’assister pendant de longues minutes au spectacle de leurs deux corps bougeant en cadence, le pieu luisant de son fils entrant et sortant de la croupe svelte de sa fille. Le maître, peut être agacé de la modeste rébellion manifestée par la jeune l’esclave femelle lors du premier accouplement, donna un ordre bref à une toute jeune femme parmi les servantes présentes. Celle-ci vint immédiatement s’accroupir auprès de Charlene, et, passant une main menue sous le ventre de la jeune femme, elle entreprit de la masturber adroitement pendant le coït en cours. Les yeux de Charlene commencèrent à se dilater et sa mère ainsi que tous les voyeurs en cercle purent voir les tétons de ses seins se tendre avant que, quelques minutes plus tard, l’enfièvrement d’un puissant orgasme ne fassent trembler tout son corps et que de sa gorge sorte un long grognement. Un véritable hourra s’éleva alors du public et Charlene, vaincue, ne manifesta plus rien, se contentant d’accompagner le mouvement imposé à son corps par les poussées orgasmiques de son frère.
La petite servante entrepris alors sur John une fellation en vue de le remettre en forme une fois de plus. Le jeune homme auquel un tel plaisir avait été refusé depuis littéralement une éternité retrouva très vite sa vigueur. La jeune femme appliqua par ailleurs discrètement un onguent le long de la hampe sexuelle du jeune homme pour garantir par des moyens chimiques la bonne fin du spectacle vicieux imaginé par le propriétaire des lieux.
John fut pour la troisième fois accouplé à sa mère. Comme au profit de la fille quelques minutes plus tôt, la jeune servante la masturba impitoyablement mais avec une science consommée pendant que son fils cavalait derrière sa croupe. Comme sa fille, Evelyne ne put éviter de donner à tous le spectacle d’un orgasme au cœur de l’inceste. Et même d’un second orgasme avant que John ne se vide encore au cœur de la matrice originelle.
La soirée se conclut par la troisième insémination de Charlene, John ayant été une fois encore « remis en forme » par la petite. Il lui fallut certes longtemps cette fois, bien naturellement, mais il parvint malgré tout à honorer sa sœur et à accomplir la fonction naturelle dévoyée qui était le cœur de cette exhibition publique. C’est une Charlene brisée qui se laissa branler encore une fois par la jeune servante habile et l’on obtient d’elle, une fois encore, le spectacle voulu.
L’esprit d’Evelyne était à la dérive, choquée par la violence qui était faite à sa famille, par l’énormité d’avoir eu un orgasme reçu de son propre fils. Tandis que John et Charlene finissaient leur copulation, elle tentait de comprendre, de trouver un sens. Tout cela était terrifiant. Pourquoi leur maître avait-il ordonné une chose pareille ? N’étaient-elles plus – sa fille et elle – ses favorites ? Pour la première fois depuis les viols avant la vente, un autre homme que le maître avait été autorisé, et à plusieurs reprises, à jouir en elles-mêmes. En effet, même lorsque Charlene avait du passer la nuit avec cet invite du maître, elle avait confié à sa mère le lendemain que celui-ci ne l’avait prise, certes à plusieurs reprises, mais que par la bouche ou le cul. Apparemment, son sexe était « off-limit » pour l’invité cette nuit là.
Le tonnerre des applaudissements et des hurlements de joie des spectateurs marqua la fin du « show », tout ce monde se leva a grand bruit et repartit joyeusement vers la grande salle à manger, laissant derrière les deux femmes fixées au sol comme deux animaux, la tête baissée et les fessées toujours dressées, contraintes de garder en elles le sperme issus du rut. John fut évacué d’un autre coté. La vieille asiatique les regarda longtemps avant de quitter en dernier les abords de la scène désertée. Evelyne fit alors dans sa tête la dernière connexion : les deux visites d’une sorte de gynécologue dans les dernières semaines, visites humiliantes auxquelles Charlene et elle avaient été soumises ! Etait-il possible aujourd’hui le maître les ait forcées à… ?
On les maintint ainsi plus de deux heures, seules face à leur déchéance, les matrices humides du liquide séminal dont elles avaient été remplies. Au loin, les bruits de la fête parlaient de joie et le bonheur de vivre. Avec le dernier désespoir Evelyne tenta au moyen de contractions de ses parois intimes d’expulser d’elle-même le fluide fécondant, dans parvenir à rien. Rendues muettes par les boules de caoutchouc enfoncées dans leurs bouches, les deux femmes ne pouvaient rien communiquer et, tandis que Charlene suivait des yeux le corps de sa mère qu’elle voyait animé de convulsions auxquelles elle ne comprenait rien, Evelyne elle ne pouvait détacher son regard du ventre si plat de sa fille chérie…
Part 9 – Ton maître partout tu serviras…
Le lendemain, Evelyne fut convoquée en pleine journée devant le maître Charlene et John, chacun la bouche pleine d’un gag, y avaient été menés eux aussi sous bonne garde. Aux cotes du maître, la vieille chinoise était assise dans un second fauteuil. Très calmement, un sourire ironique sur les lèvres, il leur fit part de sa décision :
« Slave, you will be trusted to my beloved sister for the coming year. I expect you will serve her like you would for me if not better. And your offspring, if any, will belong to her.”
[Esclave, je te confie à ma chère sœur. J’attends que tu lui rendes les mêmes services qu’à moi-même, sinon mieux. Et le fruit de ton ventre, s’il y en a un, lui appartiendra à elle.]
Le sans d’Evelyne se glaça. Cette salope là était donc sa sœur ! Et le « fruit de mon ventre » : c’était donc vrai qu’il l’avait fait ! Il l’avait fait…
« In twelve months from now, you have my word that you will be reunited with your son and daughter. »
[Dans douze mois d’ici, tu as ma parole que tu seras réunie avec ton fils et ta fille]
Charlene s’effondra au sol en pleurant – venait-elle seulement à l’instant de comprendre la raison des accouplements incestueux de la veille ? – tandis que John tanguait sur ses jambes, visiblement choqué. Les serviteurs firent un pas vers lui pour prévenir toute folie de sa part.
« Now, you go. And remember: behave or else… »
[Allez maintenant et n’oublie pas : soit soumise ou sinon…]
Des pensées terrifiantes tournaient dans l’esprit d’Evelyne : Douze mois durant, enceinte, livrée à la vieille lesbienne perverse… Et ses enfants gardés en otages ici…
Cinq minutes plus tard, un hélicoptère s’élevait dans le bleu ciel de l’île.
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