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Review This Story || Author: Coulybaca

Terreur � T�n�rife

Chapter 1



Terreur � Tenerife


Coulybaca / Vulgus




  Bien que cette histoire de Vulgus soit d�une seule traite, j�ai pr�f�r� la couper en plusieurs parties afin d�en faciliter la traduction et la lecture.



  Chapitre 1 : Notre h�ros et sa femme Jenny profitent de leurs vacances � T�n�rife, ils explorent tout d�abord les lieux consacr�s aux touristes� Puis sur le conseils d�autres vacanciers ils vont s�int�resser aux lieux plus interlopes �.. Ils vont rapidement d�chanter ! �.



Le long voyage depuis l'Angleterre �tait termin�, et nous avions une opinion juste des coutumes locales une fois d�barqu� � Tenerife.


J'avais �t� inform� que les habitants se montraient inamicaux envers les anglais, bien qu'ils ne soient pas particuli�rement amicaux en tout autre endroit.


Nous avions �t� avertis que les forces de police et les agents gouvernementaux ne servaient pas d'entremetteurs aux touristes. Si l'on avait quelque chose � leur demander, il valait mieux le dire en espagnol, parce qu'ils ne parlaient pas anglais et n'accordaient aucune patience aux touristes.



  Nous avions �t� re�us bien plus cordialement par les membres de l'h�tel et servis rapidement.


Nous �tions impatients de faire un tour pour observer les lieux, mais la journ�e avait �t� longue et nous avions deux semaines pour visiter les lieux, aussi avions nous d�cid� de se reposer un peu, et de partir en exploration qu'une fois que nous aurions mang�.



  C'�tait au mois de juillet et il faisait tr�s chaud � l'ext�rieur, l'air conditionn� dans notre chambre �tait vraiment le bienvenu.


Les temp�ratures moyennes sur cet �lot volcanique avoisinaient les 90, c'�tait juste un peu plus chaud que sur l'�le o� nous r�sidions.



  Jenny m'aida � d�faire les bagages, on prit une rapide douche et une petite somme d'argent pour trouver un endroit o� d�ner.


La journ�e avait �t� longue et fatigante et de plus nous �tions tous deux si excit�s par ce voyage que nous n'avions pas beaucoup dormi ces derni�res nuits.



  Je ne me lasserais jamais de me voir ma ravissante compagne se d�v�tir, Jenny a 23 �ans, c'est une ravissante blonde aux yeux bleus et elle mesure 1,72 m, une taille encore rehauss�e par la longueur de ses longues jambes parfaitement galb�es.


Sa poitrine est opulente et bien ferme, ses nibards sont surmont�s de d�licieux mamelons roses tr�s sensibles.


Son cul est bien rond, tr�s avenant, tout au moins en ce qui me concerne.


Elle se rase la chatoune, pour notre plaisir r�ciproque, la saveur de sa chatte n'en est que renforc�e.



  Quant � moi j'ai 24 ans, je mesure 1,75 m et je poss�de un membre viril d'environ 18 cm, et plus �pais que la moyenne.



  Nous formons un couple assez aventureux sur le plan sexuel, mais pas de fa�on forcen�e et uniquement entre nous deux.


Jenny n'avait couch� qu'avec quatre autres hommes� quatre avant moi. Je n'avais poss�d� que six femmes en dehors d'elle.


Nous avions, � l'occasion, fait l'amour en ext�rieur dans des endroits o� l'on aurait pu �tre vu, dans des cin�mas, dans notre voiture sur un parking, et m�me dans le hall de notre immeuble.



Nous aimions tous deux le sexe oral et Jenny n'h�sitait pas � avaler la fum�e.


Nous nous sommes aussi amus�s � ce qu'elle allume, le chaland, elle le faisait � contrec�ur, mais sachant que j'aimais la voir provoquer d'autres hommes elle le faisait.


Elle le faisait plus facilement en vacances, l� o� personne ne nous conna�t et ne nous reverra jamais, �a la g�nait mais je pense que c'�tait une partie du plaisir que je prenais � la voir faire.


J'avais remarqu� que bien qu'elle le fasse � contrec�ur, je le retrouvais toujours la chatte tremp�e que ce soit dans la rue o� m�me au cin�ma.


Je pense qu'elle aimait cela plus qu'elle le disait.



  On nous dit souvent que nous sommes tr�s s�duisants et nous nous exer�ons tous deux � charmer nos interlocuteurs.


Jenny travaille dans l'�ducatif et moi dans une banque.


Nous commen�ons � former un couple �tabli, un peu plus stable que la moyenne, de plus Jenny est tr�s chaude.



  Nous firmes un somme et lorsque nous �tions affam�s en nous r�veillant.


Nous sommes habill�s et nous sommes descendus et avons pris la direction d'un restaurant proche.


Comme il �tait ferm�, nous avons �t� oblig�s de nous �loigner de notre h�tel tout en faisant un peu de l�che-vitrines.


Il �tait un peu tard pour d�ner et trop t�t pour faire la f�te aussi les rues �taient-elles assez vides, c'�tait une promenade plaisante.


Nous remarqu�mes soudain une chose � laquelle nous n'�tions pas habitu�s, il semble qu'une large part de la population noire �tait dehors et nous environnait.



  Nous habitons une tr�s grande ville de pr�t d'un demi-million d'habitants, mais la grande majorit� de la population de la ville est blanche, on y trouve des pakistanais, une enclave indienne, et m�me une petite communaut� asiatique.


Nous avons aussi une population grandissante de noirs venant du Nigeria, ce n'�tait pas comme si on pouvait se promener des jours entiers sans voir de noir dans notre ville il semblait simplement y en avoir beaucoup plus ici.


Je remarquais que Jenny ne se sentait pas � son aise, mais elle ne me dit rien, je fis de m�me.


Apr�s tout nous n'�tions pas beaucoup plus loin qu'un jet de pierre de l'Afrique, il allait simplement falloir que nous ajustions nos comportements � ces nouvelles donn�es.



  Nous avons trouv� un restaurant et nous nous sommes assis imm�diatement.


Nous avons command� des boissons et un d�ner l�ger,�� la� nourriture et le service �taient excellents.


Tout se passait bien et nous sommes rest�s jusqu'� l'heure de la fermeture.


Je payais et laissais un g�n�reux pourboire puis nous part�mes rejoindre notre h�tel.


Nous avons regagn� notre chambre et avons demand� une bouteille de vin au groom, lorsqu'il l'amena nous nous ass�mes au balcon qui surplombait la piscine de l'h�tel et nous sirot�mes notre vin en nous relaxant.



  Alors que nous buvions notre vin je remarquais que notre balcon �tait quasiment ferm� aux regards.


Il y avait quelques autres chambres qui avaient la vue sur notre balcon, mais il ne semblait pas que qui que ce soit nous observe.


Comme Jenny avait beaucoup bu durant la journ�e, je pensais qu'il me serait facile d'obtenir qu'elle se d�shabille pour se d�contracter enti�rement nue, de la mani�re que je pr�f�rais.



  Ne me faites pas dire ce que je ne veux pas, elle n'�tait pas saoule,� mais nous avions bu quelques verres de vin dans l'avion, puis pendant le repas et maintenant nous sirotions nos verres de vin.


Je la taquinais, la mettant au d�fit de se d�loquer, j'obtins gain de cause, elle �tait assise � mon cot� dans le noir, je posais mes mains sur ses hanches et nous �coutions les bruits de l'oc�an proche les yeux riv�s sur la piscine.


C'�tait une situation tr�s romantique.



  On vida la bouteille de vin, puis nous nous sommes couch�s, et avons fait l'amour avant de tomber dans les bras de Morph�e.


Ce premier jour s'av�rait excellent.



  Nous pass�mes les quelques jours qui suivirent � explorer l'�lot.


Il �tait fascinant, je n'avais jamais vu autant de bananiers et de bananes! ....


Le tourisme et la production de bananes semblaient les piliers de l'�conomie de T�n�riffe.



  Nous avons aussi fait quelques achats, mais pas �norm�ment.


On avait achet� des cartes postales que nous avons envoy�s � la famille, nos amis et nos proches et nous en en avons gard� quelques-unes unes comme souvenirs.


Nous avons aussi achet� quelques tenues sexy pour Jenny porter� les soirs o� nous irions tra�ner dans les boites de nuit, et bien sur une paire de bikinis plus provocants.


J'�tais heureux de voir qu'elle �tait vraiment dans l'esprit du lieu et qu'elle inclinait � porter les fringues ultra l�g�res et sexy que nous avions achet�.



  Nous n'avons finalement hant� la plage qu'� partir du quatri�me jour.


Jenny jeta un coup d'�il circulaire et vit que de nombreuses femmes avaient les seins nus,� elle �ta imm�diatement le haut de son bikini.


Ce n'�tait pas la premi�re fois qu'elle se mettait seins nus � la plage, mais elle n'en avait pas si souvent l'occasion.



  J'avais des �motions m�l�es, j'aimais la voir seins nus, ses nichons tr�s blancs contrastaient nettement avec sa peau tann�e.


J'adorais la voir s'exposer ainsi, j'aimais l'id�e que les autres hommes sur la plage m'enviaient et admiraient ses formes somptueuses.


Je savais aussi qu'en d�pit de son apparent d�tachement, elle �tait tr�s consciente d'�tre seins nus et d'allumer ainsi les spectateurs sans prendre aucun risque.


Le lendemain sa poitrine avait d�j� perdu de sa blancheur initiale, mais elle contrastait encore avec le reste de ses app�ts.



  Nous tombions dans une certaine forme de� routine journali�re : on se levait tard le matin, puis on se douchait et on prenait un repas l�ger avant d'aller pour une paire d'heures sur la plage.


Apr�s avoir pass� une paire d'heure dans la chaleur �touffante du soleil on prenait un rapide lunch quelque part p^�s de la plage et nous rentrions nous doucher avant de chercher un endroit � la mode pour souper.



  Apr�s le repas nous avions pris l'habitude de rentrer � l'h�tel pour nous relaxer un moment, nous prenions souvent un bouquin et descendions le long de la piscine pour nous asseoir � l'ombre d'un parasol et nous lisons notre bouquin tout en nous d�contractant et en regardant �voluer le gens qui nous environnaient.


Jenny en profitait pour enfiler les maillots de bain ultra sexy qu'elle s'�tait achet�e plus t�t.


Ils lui allaient parfaitement et nous trouvions que le service �tait excellent, certainement du fait de l'int�r�t des serveurs pour sa tenue.



  Apr�s nous �tre bien relax� nous remontions pour un petit somme� puis nous �tions pr�ts � entamer la soir�e.


Jenny enfilait une tenue l�g�re et sexy et nous sortions pour souper et ensuite aller danser dans une boite de nuit.


Nous aimions tous deux danser et j'adorais mater les jolies danseuses �voluer sur la piste.


Jenny dansait avec d'autres que moi.


Une fois qu'elle avait sirot� une paire de verre d'alcool elle �tait m�me capable de flirter et cela m'amusait �norm�ment de la voir allumer ses partenaires avant de les quitter sans rien leur accorder de plus.



  Comme tous les autres males dans la salle, J'aimais la regarder se tr�mousser avec sa minuscule jupe et sa micro brassi�re.


Ce spectacle ne manquait jamais de m'exciter comme un poux.


Elle adorait �tre le centre d'attention de tous ces hommes qui la reluquaient avidement.



  Nous avions visit� beaucoup de boites de nuit et nous y �tions beaucoup amus�s, au milieu de la seconde semaine nous cherchions un nouveau club, on attendait pour un taxi tout en discutant avec un couple de Grands Bretons, qui nous signal�rent un bon petit club fr�quent� par les indig�nes, o� passait un des meilleurs orchestres qu'ils aient jamais entendu.


Ils �taient convaincus que c'�tait la meilleur boite de toute l'�le, et celui o� ils avaient pris le plus de plaisir.



  Il �tait trop tard pour y aller ce soir m�me mais ils nous donn�rent le nom du club, nous pressant de nous y rendre.


Je pensais qu'il valait mieux rester dans les endroits fr�quent�s par les touristes o� nous �tions en s�curit�, mais Jenny �tait plus aventureuse et elle me pressait de nous rendre dans ce club.


A force de d�ambuler dans l'�le elle finissait par se sentir partout en s�curit� et elle voulait vivre une petite aventure sortant des sentiers battus par les touristes.


A contrec�ur je d�cidais que nous nous y rendrions la nuit prochaine.



  C'est ainsi que la nuit suivante nous nous trouvions dans un taxi qui nous emmenait au "Banana's club", le chauffeur nous avait regard� tout sourire lorsque je lui avais dit le nom de notre destination.


Mais je n'en pensais rien, cela, ne m'alerta pas en tous cas...



  La boite se tenait � l'ext�rieur de la ville tout au fond d'une sinistre route bord�e de d�tritus.


Nous avons entendu la musique bien avant de la voir. Nous ne nous sentions plus g�n�s de nous trouver entourer d'indig�nes maintenant. Tous se montraient extr�mement amical et nous nous sentions en s�curit� partout o� nous allions.


Cependant je me sentis un peu mal � l'aise lorsque nous entr�mes et que je vis que bien plus de la moiti� de l'assistance �tait constitu�e de noirs.



  Mais nous n'�tions pas les seuls blancs, nous nous regard�mes dans les yeux et on d�cida de tenter le coup. Nous avons finalement trouv� une table et nous arriv�mes � nous commander quelques boissons.



  L'orchestre �tait excellent et jouait devant une grande piste de danse.


Je jetais un coup d��il circulaire, nous semblions �tre les seuls touristes, mais tout le monde semblait joyeux, la musique �tait bonne, et bien vite nous nous sommes sentis comme chez nous.



  Nous avons dans� un peu et j'ai vu � quel point� Jenny attirait l'attention des m�les, et j'en �tais assez fier.


Elle re�ut plusieurs invitations � danser dans entre deux de nos danses, elle commen�a par les d�cliner.


Mais elle aimait beaucoup plus danser que moi,� je pr�f�rais la voir danser, aussi l'encourageais-je � accepter les invitations d'autres danseurs.



  Son second verre vide elle se montra plus coop�rante et finalement elle accepta de danser avec un grand noir qui pr�sentait bien.


Elle n'avait jamais dans� avec un noir auparavant, mais il dansait tr�s bien et ils furent bient�t le centre d'attraction des danseurs.


Sa petite jupe flottait dans les airs et laissait entrevoir de tempes en temps des bribes de sa petite culotte, ainsi que ses longues cuisses bien galb�es.


Elle �tait vraiment tr�s excitante, mais il me semblait �trange de la voir entour�e de cette foule de noirs.



  Ils firent trois danses puis l'orchestre fit une pause. L'homme ramena Jenny � notre table s'assit avec nous et se mit � discuter le plus souvent avec Jenny.


C'�tait vraiment tr�s convivial, je ne l'avais pas invit� � se joindre � nous, il avait simplement suivi le mouvement.



  On nous servit trois boissons, le noir se pr�senta lui-m�me, il y avait tant de bruit dans la salle que je ne compris pas son nom. Cela ressemblait � Harold, mais cela ne lui correspondait pas du tout.



  Nous avons vid� nos verres alors que Jenny et Harold discutaient, je n'entendais pas ce qu'il lui disait, je me contentais donc d'observer les r�actions de Jenny, elle semblait nerveuse de l'avoir � ses cot�s, elle semblait souhaiter qu'il parte, mais elle n'avait pas le courage de le lui dire.


Elle me jeta plusieurs coups d��il significatif, mais nous nous trouvions dans une boite de nuit pleine de noirs� et c'�tait un v�ritable colosse� noir, je n'avais aucune envie de le froisser.



  Ils termin�rent leurs verres et il invita Jenny � retourner sur la piste de danse pour y faire quelques tours.


Apparemment il lui apprenait quelques danses locales qui semblaient tr�s sensuelles.


Je les observais plus attentivement mais ils furent rapidement engloutis par la foule et � part de br�ves apparitions de temps � autre,� ils �taient hors de vue la plupart du temps.


Le visage blanc de Jenny �tait perdu dans un oc�an de figures noires.



  Ils revinrent apr�s plusieurs danses plus et s'assirent de l'autre cot� de la table face � moi.


Je ne savais pas pourquoi, mais sa tenue me semblait chiffonn�e.


Elle avait beaucoup de peau d'expos�e aux regards, et les triangles �troits qui couvraient ses seins me semblaient� avoir r�tr�cis.



  De nouveaux verres apparurent sur la table et deux noirs s'asseoir soudainement de chaque cot� de moi, ils parlaient � voix forte avec Harold dans un langage que je ne comprenais pas.


Ils �taient tout sourires et me semblaient tr�s amicaux.



  Les trois hommes semblaient au d�but de la trentaine, ils �taient tous trois grands et costauds, tr�s imposants.



  Je regardais Jenny et Harold boirent, se parlant dans l'oreille l'un de l'autre, ce qui indiquait � quel point ils �taient assis serr�s� l'un contre l'autre.


Je voyais bien que les diff�rents verres ingurgit�s commen�aient � agir sur Jenny mais elle ne me semblait pas tr�s d�contract�e.


Elle semblait terriblement nerveuse mais incapable de se d�courager Harold.



  Harold avait un bras qui tombait derri�re sa chaise, sa main �tait pos�e sur l'�paule de Jenny, mais cela semblait tr�s naturel.


Il semblait� ne la serrer contre lui que pour pouvoir lui parler.



  L'un des hommes assis � mes cot�s dit quelque chose � Harold qui grima�a et hocha la t�te et soudain il tendit la main et �carta le tissu qui couvrait l'un des nibards de Jenny, ils �clat�rent tous trois de rire.



  Jenny repoussa sa main, il l'enleva et il se remirent � causer.


J'essayais de me lever.


Il �tait �vident qu'il �tait grand temps de quitter cet �tablissement, de s'�loigner de ces trois hommes et de toute cette foule noire et de retourner dans un club s�curis� pour touristes.


Mais comme je me mettais debout, l'homme de l'autre cot� de moi posa ses mains sur mes �paules et me rassit de force sur ma chaise.



  Ils me sourirent alors, ils ne semblaient pas mena�ants. Mais j'�tais incapable de me relever et je ne savais pas quoi faire.


Je jetais un nouveau coup d��il vers Jenny et vit une forte anxi�t� se peindre sur son visage.


Juste � ce moment je la vis sursauter brutalement et je remarquais qu'une des mains d'Harold se trouvait sous la table � cet instant.



  Je hurlais � Harold et Jenny qu'il �tait temps que l'on parte. Harold me regarda fixement puis se remit � causer avec Jenny sans plus se pr�occuper de moi, alors que sa main remuait sous la table.



  L'un des hommes qui m'encadraient se pencha plus en avant et me dit d'une voix �paisse :


-         "Vous ne comptez pas nous quitter si t�t? ....� La f�te vient juste de commencer! ... ".



  Je ne savais que faire. Je ne pouvais pas lutter contre ces hommes, ils me mettraient Ko trop facilement.


J'�tais forc� de rester assis, d�sarm�, et de laisser faire tout en regardant le spectacle.


Harold continuait � s'amuser des charmes de Jenny. L'heure suivante ils nous oblig�rent � consommer de nombreuses boissons, je ne sais pas ce qu'on buvait, mais c'�tait dr�lement fort.


Jenny dut retourner sur la piste de danse.


Elle �tait perdue dans cet oc�an de visages noirs, mais je suis sure de l'avoir vue � deux reprises et je pourrai jurer que sa brassi�re pendait mis�rablement sur sa taille, elle dansait une de ces danses sensuelles qu'Harold lui enseignait le torse nu au milieu de cette n�gritude.



  Pendant qu'elle dansait j'arrivais � convaincre mes voisins que je devais me rendre aux toilettes pour hommes, ils m'y escort�rent puis me ramen�rent manu militari � notre table.


On venait de se rasseoir lorsque je vis Harold ramener Jenny � notre table.


Elle affichait un air que je trouvais des plus douteux.


A peine �tions-nous assis qu'Harold sortit sa petite culotte de sa poche la tint en l'air l'�talant comme un troph�e qu'il pr�sentait � ses deux comparses qui m'encadraient.



  Je jetais un oeil sur Jenny, elle avait l'air totalement d�sarm�e et profond�ment humili�e, et je me sentais incapable d'intervenir.


Mon d�sarroi s'accrut encore lorsqu qu'Harold se pencha et roula une pelle � Jenny.


Elle se d�battit pour �viter ses baisers, mais il la tenait bien et je pus voir son �paisse langue explorer la bouche de ma femme alors qu'elle s'�tait r�sign�e � le laisser faire.



  Profond�ment choqu�, je les regardais se rouler des patins, sa main se glissa entre tissu et peau et il empauma ses chauds nibards comme si elle lui appartenait.



  Je luttais pour me lever avec le m�me pitoyable r�sultat que la premi�re fois.


Ils me renvoy�rent brutalement sur ma chaise et les deux colosses qui m'encadraient en me souriant secou�rent leurs t�tes et se remirent � regarder Harold qui molestait Jenny.



  Finalement Harold cessa de l'embrasser et enleva sa main au grand soulagement de Jenny, un de ses nibards restait expos� aux regards, elle tendit la main pour le recouvrir, mais Harold stoppa son� geste.


Il se saisit de son verre et le lui tendit, elle en but une large rasade, Harold arrangea le fin tissu de sa brassi�re de fa�on � ce qu'elle exhibe maintenant ses deux nichons, non seulement pour nous, mais aussi la foule des noirs qui se pressait autour de notre table, beaucoup d'entre eux pr�f�raient nous regarder plut�t que de mater les couples sur la piste de danse.



  Je ne savais pas comment nous allions nous tirer de ce gu�pier et j'�tais affol�.


Bien sur j'aimais voir Jenny allumer ses voisins, j'aurai m�me admis, dans mon fort int�rieur, qu'elle ait des rapports sexuels avec un autre que moi tandis que je les regarderais fou d'excitation, mais actuellement nous avions perdu tout contr�le de la situation, et personne ne viendrait � notre aide.


Ils m'apparaissaient maintenant bien plus mena�ants, d'autant plus qu'ils parlaient de nous en usant d'une langue que nous ne comprenions pas.


Nous savions qu'ils parlaient de nous, et plus sp�cialement de Jenny, mais nous n'avions aucune id�e de ce qu'ils disaient et c'�tait follement angoissant.



  Je regardais Harold tendre la main et jouer avec les mamelons de Jenny les amenant � se raidir, les �tirant machinalement.


�Et elle ne pouvait que rester passive lui permettant d'user de ses app�t� � sa guise.



  Harold et ses deux amis discouraient de plus belle, puis il vid�rent leurs verres et se lev�rent brusquement.


Pendant une seconde je pensais que notre �preuve se terminait, qu'ils partaient en nous abandonnant � notre sort! .....



  Mais ce n'�tait pas termin�..


Harold fit relever Jenny et les nichons � l'air il l'entra�na vers la porte.


Un des colosses m'encadrant de chaque cot� je dus les suivre. Je pouvais voir Harold guidant ma femme sa grosse patte pos�e sur ses fesses. Sa main �tait gliss�e sous sa jupe qui �tait bouchonn�e autour de sa taille alors que nous sortions de la boite.



  Je tentais de leur dire que nous devions les quitter en m'interposant entre Jenny et Harold, mais j'�tais tout autant sous leur contr�le que Jenny.


Nous marchions lentement vers le parking, nous nous sommes rassembl�s autour d'une camionnette.



  Harold avait pris Jenny dans ses bras, il la serrait contre lui tout en lui roulant des patins passionn�s tandis que ses mains inventoriaient ses charmes � son gr�.


Elle avait lutt� quelques secondes, mais, sachant que c'�tait en vain elle s'�tait r�sign�e � le laisser faire.



  Tandis qu'il l'embrassait, il posa sa main dans son cou et il d�grafa le n�ud qui retenait sa brassi�re.


De toute fa�on, ses nibards �taient � l'air depuis un bon moment mais cela nous mettait mal � l'aise bien que cela plut �norm�ment aux comparses d'Harold.



  Il devenait de plus en plus �vident que Jenny allait se faire violer cette nuit m�me, et je r�alisais que je n'avais aucune chance de l'emp�cher quoi que je fasse.


J'aurai eu une chance minime si seulement quelqu'un pouvait nous voir nous d�battre contre nos agresseurs, ils auraient pu venir � notre aide ou appeler la police.


Je ne croyais pas vraiment que cela puisse arriver, et je savais qu'une fois dans la camionnette nous n'aurions plus aucune chance de leur �chapper.


Je me ruais sur Harold, mais je n'eus m�me pas le temps de l'approcher vraiment. Les deux salopards qui m'encadraient m'empoign�rent, l'un d'eux me tint tandis que l'autre me frappait � l'estomac, si fort que j'en eus le souffle coup�.


Je tombais � genoux en d�gueulant, puis j'haletais douloureusement pendant quelques minutes.


Lorsque je repris mes esprits je me roulais en boule, mais ils m'empoign�rent, me remirent sur pied et l'un d'entre eux me dit :


-         "As-tu compris la le�on, ou bien doit-on te ligoter? ....."



  Je vis que Jenny me regardait en pleurant.


Harold la tenait fermement, apparemment elle avait essay� de venir � ma rescousse et� il l'en avait emp�ch�.


Je jetais� � Jenny un regard plein d'angoisse, mais nous savions tous deux que ne pouvions rien faire.


Je leur dis que je me comporterais docilement, et ils me l�ch�rent.


Je me tenais debout, frottant mon estomac douloureux alors qu'Harold reprenait Jenny entre ses bras.



  Nous nous trouvions dans un grand parking, un grand nombre de gens allaient et venaient � cot� de nous.


Parfois ils s'immobilisaient regardant un moment Jenny � demi-nue, d'autres se contentaient de hurler des encouragements � Harold et ses complices.


Je ne comprenais pas leurs mots, mais le ton suffisait � ce qu'on comprenne le sens de leurs encouragements.



  Finalement Harold enleva les derniers v�tements de Jenny, puis il ouvrit la porte du van et poussa jenny � l'int�rieur.


Harold s'assit sur un des si�ges au centre de la camionnette et jeta les clefs � l'un de ses deux comparses.


Je fus pouss� sur le si�ge passager avant. Le troisi�me noir s'assit � cot� d'Harold alors que Jenny dut� s'agenouiller sur le sol couvert de moquette.



  Alors que le van d�marrait lentement pour sortir du parking, Harold sortit son �paisse queue de son pantalon et Jenny entreprit de le sucer alors que nous reprenions le chemin bord� de d�tritus.


Je le savais parce que chaque fois que j'essayais de fermer les yeux, ou de d�tourner mon regard du spectacle que m'offraient Jenny et Harold � l'arri�re du van, l'homme assis derri�re moi me frappait violemment derri�re la t�te.



  Le chauffeur matait le spectacle � l'arri�re dans le r�troviseur tout en empruntant de petites routes �troites.



  Je fus forc� de voir Harold se vider les couilles dans la bouche de ma malheureuse femme.


Elle s'�trangla, gargouilla et lutta pour avaler de larges doses de sa chaude semence, puis elle s'assit et recueillit de la pointe de la langue les quelques filets qui s'�taient �tal�s sur son menton.



  Elle ramassa du doigt les reliefs qui s'�coulaient dans son cou et les l�cha c'est alors que l'homme assit � cot� d'Harold se redressa, saisit la chevelure de Jenny et l'attira entre ses cuisses.


Je ne l'avais pas vu sortir sa bite de son pantalon, mais il se tenait pr�t, ventre tendu en avant, elle ne lui r�sista pas alors qu'il pressait son visage contre sa bite �rig�e.


Elle ouvrit la bouche, l'emboucha et se mit � le sucer tout de go.


Cet homme ne se montrait� pas aussi doux et patient qu'Harold l'avait �t� et Jenny en voyait de dures.


Comme elle se d�menait pour le satisfaire cet homme avec sa bouche, Harold se posta � genoux dans son dos, et �carta ses cuisses en grand.


Il caressa quelques instants sa chatoune puis aligna sa bite sur l'entr�e de sa grotte et la grosse bite noire fora son trou dans sa foufoune alors qu'elle continuait � sucer son suborneur de t�te.



  Le chevaucheur de t�te ne put se contr�ler bien longtemps et remplit rapidement la bouche de Jenny de son foutre cr�meux. Mais il ne se retira pas pour autant.


Il lui laissa sa bite en bouche tandis qu'Harold lui martelait la foufoune, c'�tait insoutenable de la voir sans d�fense, viol�es par deux colosses noirs qui discutaient entre eux � son sujet et riaient de sa d�confiture.



  Le chauffeur ralentit et se gara face � une petite maison dans un quartier populeux de la ville.


Nous regardions tous Harold continuer � baiser Jenny par derri�re jusqu'� ce qu'il se t�tanise, agrippe ses hanches et se vide dans sa chatte non prot�g�e.



  Il resta en place pendant presque une minute avant d'extirper sa bite de sa chatoune, puis il lui saisit les cheveux et la disposa de fa�on � ce qu'elle puisse lui nettoyer la queue.


Elle tenta encore de lui r�sister le repoussant � de ses deux mains pos�es sur son ventre, mais il dit quelque chose � ses acolytes, l'un d'eux se redressa et me frappa violemment.


Jenny comprit le message et cessa de lui r�sister, embouchant la bite d'Harold pour la nettoyer � fond.



  Les deux hommes dans le fond du van rang�rent leurs mentules dans leurs pantalons et sortirent du van, le chauffeur se releva, gagna l'arri�re du v�hicule et s'assit� face � Jenny.


Il sortit son chibre, Jenny se posta face � sa bite fr�missante sans m�me attendre qu'on le lui ordonne.



  Elle referma ses l�vres sur le braquemart d�ploy� et alors que la porte de la camionnette �tait grande ouverte, � la vue des passants elle fit de son mieux pour le sucer correctement.


Alors qu'elle le su�ait avec ardeur, il tendit la main et lui malaxa rudement les nichons, �tirant douloureusement ses mamelons, il rit et parla avec ses copains jusqu'� l'instant o� il s'assit bien au fond du si�ge ferma les yeux et se vida � gros bouillon dans sa bouche asservie.


Jenny d�glutit et avala l'�paisse pur�e puis elle l�cha son m�at lapant les derni�res gouttes qui en suintaient.


Elle se rassit et il sortit du van remontant son pantalon � sa taille, les promeneurs passaient, ralentissaient, parfois m�me s'arr�taient, regardaient attentivement Jenny et reprenaient leurs routes.



  Ils nous pouss�rent hors du van et, au lieu de nous emmener dans la maison devant laquelle la camionnette �tait gar�e, ils nous firent passer le coin de la rue pour gagner une petite maison qui avait �t� convertie en un petit bar de voisinage avec une terrasse.


Toutes les conversations cess�rent alors que nous nous dirigions vers la grille, Harold et ses amis s'assirent dans le petit espace cl�tur�.


Il y avait environ deux douzaines de tables, presque toutes occup�es, tous les consommateurs se turent et nous fix�rent Jenny et moi avec des yeux ronds comme des boules de billard alors que nous nous tenions de chaque cot� d'Harold.



  Je fuyais leurs regards, mais je jetais un coup d��il circulaire et constatais qu'il y avait une demi-douzaine de couples discutant et buvant mais la plupart des tables �taient occup�es par des clients m�les.



  Apr�s quelques secondes, quelques consommateurs salu�rent Harold et ses amis et les conversations reprirent


Ils semblaient tous parler le m�me dialecte dont Jenny et moi-m�me ne comprenions pas un mot.



  Un serveur s'approcha de notre table, Harold et ses deux complices command�rent alors que l'homme gardait les yeux riv�s sur Jenny.


D�s qu'il nous quitta, un homme assis � une table proche se leva et nous rejoignit, il discuta un bon moment avec Harold et ses potes.


Ils explos�rent de rire et l'homme s'approcha de Jenny et posa ses mains sur ses nibards, il demanda lourdement en anglais :


-         "J'esp�re que vous appr�ciez vos vacances? ......"



  Tout le monde trouva cela hilarant. Jenny et moi nous �tions fig�s, humili�s alors que l'homme retournait � sa table.


Le serveur revint avec des consommations pour les trois hommes, ils la sirot�rent et discut�rent entre eux les yeux braqu�s sur Jenny, de temps � autre ils caressaient machinalement ses app�ts.



  On resta une bonne heure � cet endroit, de temps � autre des hommes se levaient et venaient inventorier les charmes de Jenny tout en discutant avec Harold et ses amis.


Personne ne semblait avoir piti� de nous, m�me les femmes virent plaisanter avec Harold mais elles se gard�rent de toutes caresses indiscr�tes.



  Lorsque Harold et ses deux comparses eurent fini leurs boissons, ils se lev�rent et gagn�rent dans la maisonnette pour payer leurs consommations.


Harold tendit au serveur qui, je pense, devait �tre le propri�taire des lieux, une paire de billets de banque, puis il poussa Jenny sur ses genoux face � sa braguette.


Le propri�taire descendit son pantalon sur ses genoux et Jenny le su�a consciencieusement dans l'encadrement de porte.


La foule fit de nombreuses remarques lorsque nous sommes partis, il n'�tait nul besoin de comprendre leur langage pour comprendre la teneur de leurs commentaires! ....



  Jenny semblait choqu�e, �gar�e.


Je n'avais pas eu une seule chance de lui parler depuis qu'Harold s'�tait impos� comme notre ma�tre.


Je n'avais pas encore bien compris comment il s'y �tait pris, il ne nous avait pas menac�s ni drogu�s, ni m�me abus�s physiquement jusqu'� cet instant o� nous avions quitt� le parking de la boite de nuit.


Mais Jenny et moi comprenions qu'il nous dominait totalement et que nous n'avions aucun autre choix que de lui ob�ir aveugl�ment.



  28 novembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)




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